Qu’est-ce qui s’est passé depuis tout ce temps… Est-ce que je veux m’en souvenir ou bien mon inconscient me joue des tours… Commençons par le commencement. Tout d’abord, j’ai dû être hospitalisé pour une commotion cérébrale, un peu plus et mon crâne se remplissait de sang. Mouais je sais c’est pas fameux mais je suis quand même en vie. Il verra quand j’aurai Kubikiri (parce qu’en deux ans, je ne l’ai pas ouaip.) sa tête va rouler sur le sol, avec une bonne parti de soccer. Sakurya a été si traumatisé par ce con aux cheveux noirs qu’elle a de la misère à tenir l’imitation de l’épée légendaire. En fait, elle a peur pour moi, je me souviens qu’elle arrêtait pas de crier et de pleurnicher (J’ai dû lui dire de la fermer…) Bref, après ma belle bosse sur la tête, une réhabilitation et un peu de temps, mes capacités sont revenues. Par contre, je n’ai plus trop de signe de Sakurya, elle joue la muette. Bon…

Qu’est-ce qui s’est passé… Ah ouais, le mizukage, ouais celui qui se change en eau avec son honneur de con… C’est un espèce de salop, tellement, que son trou de cul est jaloux de sa bouche, tellement il dit de la merde. Je me suis retrouvée sans foutu sensei et une muette qui n’ai pas capable de brandir une branche… Ralalala je comprends pourquoi mon cerveau voulait pas se souvenir de ses derniers deux ans. Plus rien ne va en fait. Et je vous interdis de compatir à mon sort, car sachez que j’ai toujours un plan B, et ça concerne Orochimaru. Espionne fidèle, les informations sont toujours à jour, j’ai bien hâte de voir ce qu’il me réserve, car je crois le mérité, mais il faut savoir que l’hôpital a été mon chez moi un certain temps, c’est peut-être pour ça qu’il ne me contactait plus. De toute façon, ça me laisse le temps de décompresser et de me calmer. Ouais ouais, j’ai bien dit calmé… Disons que mon corps ne m’écoute plus trop depuis le mutisme de Sakurya, il faut dire que c’est elle qui avait la meilleure maîtrise…

Alors voilà, je crois que ça fait le tour. Je ne laisse pas Sakurya parlé, de toute façon, elle n’aura rien à dire sauf que le monde devient quelque chose qu’elle redoute. Qu’elle ne désire pas que son village soit jugé ainsi, et tout le blabla triste là…