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 Nostalgia ▬ Hiko Ei

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Fujimi Jin
Juunin de Kiri
Fujimi Jin
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MessageSujet: Nostalgia ▬ Hiko Ei    Nostalgia ▬ Hiko Ei  EmptyMar 6 Mai - 17:37


望郷の念
Nostalgia



« Les rêveries s’élèvent et frôlent l’amertume. Des sombres feuilles folles qui tangent en narguant les évadés, aux mains griffées de plumes dont leur omniprésence n’en fait que des absents. »

Sous ces rayons cléments de soleil de septembre, le ciel était doux mais pâle, la terre parsemées de feuillages automnaux. Dans les forêts éloignées du pays du fer, la feuille avait la couleur d'ambre tandis que les oiseaux ne chantaient plus sur le bord de leurs nids. La mousse était sans parfum, les herbes sans mollesse ; le jonc sur les étangs se penchait soucieusement ; l'astre solaire lui, pâlissait d'une tiède tristesse emplissant au loin, la plaine, les monts et les cieux.

L'escrimeur contemplait sagement les effets de la saison qui se plaçait avant l'hiver, déambulant dans les bois aux branches que l'air rouillait et que le gel mordorait. Habillé de son traditionnel kimono amarante, il était tel un pétale de roses parmi les feuilles mortes vu du ciel. Marchant à pas de loup, on pouvait à peine entendre le fin bruitage de craquelures que procuraient ses pieds à l'instant où, ils écrasaient quelques brindilles éparpillées sur le sol tapissé de flore et teinté d'une couleur d'or.

Le sabreur parvenu finalement en face d'un « Minka », une habitation ancestrale abandonnée. Après avoir erré durant de longues heures en solitaire tout en observant la nature environnante, légèrement curieux, il décida d'y pénétrer comme à son habitude, à ses risques et périls. Se considérant comme un sans-logis malgré celui offert par le général de l'armée militaire. En effet, sa profession d'assassin le contraignait à fuir l'espèce humaine, autrefois marqué par la haine, celui-ci ne voulait en aucun cas nouer de liens au risque de devoir un jour, éliminer voir même sacrifier une nouvelle fois un être cher. Que ce soit de ses propres mains, ou de celles, d'un autre samouraï désireux d'atteindre l'Hitokiri Battõsaï sentimentalement, avant de prendre le dessus au combat en tirant profit de la plus grande faiblesse, qu'un homme pouvait avoir, l'amour.

Enlevant ses sandales devant le « Genkan » la porte d'entrée, avant de fouler ses pieds dans les « Washitsu », pièces munit de tatami et de portes coulissantes. Le bretteur visita la propriété dans ses moindres recoins, elle qui lui rappelait étrangement celle de son défunt maître de par ses débris et son ambiance lugubre à l'abri des hommes. La sonorité grinçante émanant du sol fait de bois et issus de chênes séculaires, pouvait aisément laisser paraître que cette maison, avait été construite il y a de cela de plusieurs générations. De la poussière sur tous les meubles, des toiles d'araignées elles-mêmes délaissées, les vieilles chambres veuves de pas qui sentaient tout bas l'iris et la résine fossilisée ; la pâleur des portraits, les reliques usées... Ce pavillon campagnard ressemblait curieusement à la vie du Kendoka. Autrefois gorger de vie, dorénavant apathique tout en étant enchaîné au village caché de la brume.

L'exploration du domaine venu à son terme, le religieux à la chevelure écarlate ouvra le « Õdo », la porte principale menant généralement à une vaste cour de verdure. S'installant sur le rebord du plancher, Jin se trouvait face aux tardives floraisons du jardin qui déclinaient, elles avaient majoritairement rendues l'âme, à l'exception d'une, de la famille des « Nelumbonaceae », celles-ci avaient la douceur exquise et le parfum de ses anciens souvenirs, si délicates, malgré l'épine de l'illusion morte et du bonheur défunt. C'était bel et bien des fleurs de « Lotus », la plante favorite de sa bien-aimée aujourd'hui décédée.

« Ces fleurs.. Serait-ce... ? »



Ces végétaux que le soleil mélancolique, illuminait de par ses timides rayons sur un petit périmètre, il s'agissait peut-être de l'âme des printemps fanés qui, pour un jour, remontait, et, de corolle en corolle s'exhalait. Comme pour lui remémorer sa vie antérieure à la vue de ce bouquet, variant du blanc le plus pur, au carmin rosé doté d'un cœur, jaunit par le pollen. Hitomi l'utilisait régulièrement pour soigner les blessures de son fiancé, lorsque celui-ci rentrait de missions diverses ou d'un duel à mort, elle était tout le temps présente en compagnie de ces plantes médicinales, sur qui, de légères gouttelettes d'eaux coulaient, alarmant par la suite l'escrimeur balafré qui se mit à ressasser certains passages noirs de son existence.

« Hitomi, ce jour là tu... »


Huit ans plus tôt .

Hypnose du passé assoiffé de mélancolie, une silhouette d'antan resurgissait dans une nuit pour le moins, sombre et chaotique. Martelé par la pluie, l'héritier du clan Fujimi pourchassait sa dernière victime dans un palais construit en l'honneur d'un ancien roi de la nation. Le sang coulait à flot, ruisselant comme de l'eau en empruntant le long chemin des gouttières, teintant de ce fait le sol d'un rouge funèbre. Il ne restait désormais qu'un homme, parmi la dizaine ayant rejoint l'au-delà. Le Battõsai plus cruel que jamais, cessa la traque en menant sa cible vers un cul-de-sac, trois murs une seule et même issue pour le politicien corrompu et apeuré, telle une pauvre bête en cage.

Cette sortie était évidemment gardée par son assaillant, le meurtrier aux pupilles violâtres qui, patiemment, attendait que sa proie ne décide d'emprunter le seul chemin qui lui était tracé, celui de la mort. Éliminant sa dernière cible avec un sang-froid des plus déconcertants, engendrant par la suite, une étonnante giclée de sang lorsque l'assassin se mit à retirer le bout de sa lame enfoncer profondément dans la gorge dorénavant asséchée du corps cadavérique, qui lui, était encore chaud.

« To..toi ici ?! Hi..Hitomi ?! »


Apparition soudaine de sa fiancée, son regard aussi glacial que l'ambiance sinistre qui régnait dans la ruelle. Hitomi était là, debout, figée telle une statue de pierre, son minois délicieusement angélique d'une blancheur candide, s'était changée en un visage livide sans aucune expression, tacheté d'une goutte rougeâtre, dégoulinant le long de sa délicate peau jusqu'à son gracieux kimono blanchâtre.

On pouvait dès cet instant, croire que la jeune femme venait de perdre la vie, victime d'un véritable choc à la vue du futur père de son enfant, les mains tâchées de sangs. Lui qui avait fait la promesse de ne plus dégainer son sabre, de ne plus commettre d'atrocités. La femme enceinte se sentait trahis par le comportement mensonger de Jin. Le chasseur de têtes stupéfait et désemparé, lâcha brusquement son katana, avant de détourner les yeux de ceux de sa moitié, déviant légèrement la tête sur le côté, pris d'un sentiment de honte et de désolation, il ne savait pas comment lui dire, à quel point il était navré...
Retour au présent.

Hélas, ces visions hideuses qui le hantent depuis des années, n'avaient pas de trêves, se multipliant comme un cortège de loups au moment où, le samurai se retrouvait dans une lancinante solitude.

Torpeur, turpitude, son esprit était maintenant engourdi par ces événements passés. Des cumulus grisâtres s'invitaient parmi les cieux, camouflant ainsi, la sphère lumineuse, les dieux semblaient eux aussi attristés.

Coincé dans le malaise du silence, sans espérance, sa motivation s'était évaporée avec les rêves d'une grandeur immaculée. L'orage grondait, comme pour le sortir des ordures en le réveillant avec ses fines gouttelettes d'eaux innocentes, son rugissement paternel désirait le sauver de l'autodestruction à l'état pur. L'originaire du pays fréquemment enneigé, sentait qu'il se faisait observer, un pressentiment qui ne l'avait encore jamais trahis auparavant, étant habitué à se faire poursuivre pour son titre proverbial de « Ronin invaincu ».

« Pardonne-moi Hitomi, je vais pécher aujourd’hui.  »


Susurrait le guerrier de manière, à ce que l'inconnu décrypte le message malgré le début de l'averse, posant à la suite de ses dires, sa main de façon furtive sur le manche de son katana. Comme un avertissement lancé à son probable et prochain antagoniste, accoutumer à ce genre d'approche de la part de ses homologues assoiffés d'honneurs et de lauriers, venant le défier lui, « L'épéiste sans défaites ».  Guettant discrètement les faits et gestes du nouvel arrivant, du coin de l’œil, prêt à lui trancher le cou sans aucun scrupule, sans une once d'hésitation, ne se doutant pas qu'il s’agisse éventuellement, d'un voyageur à la recherche d'un abri.

© GS


Dernière édition par Fujimi Jin le Ven 9 Mai - 1:13, édité 1 fois
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Hiko Ei
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MessageSujet: Re: Nostalgia ▬ Hiko Ei    Nostalgia ▬ Hiko Ei  EmptyJeu 8 Mai - 15:09





Tu ne savais pas ce que tu foutais ici. Littéralement. Tu haussais mollement un sourcil, convulsivement, en regardant ce paysage. L’antipode de ce que tu avais vu auparavant dans une vie sanguine. De pouvoir. Et de fureur. L’air était différent. Tes poumons vivaient autrement. Comme un fœtus mort-né renaissaient encore et encore. Le plancher végétal andrinople était une sensation nouvelle pour ta personne. Même si, les missions hors de Suna furent déjà de mise au  vu de ton grade militaire et belliqueux plus qu’important. La métropole de Suna Gakure No Sâto ne te permettait pas d’avoir un panorama si auguste et olympien. Presque changeant à chacun de tes frêles pas. Léger et sans lourdeur emplie de miséricorde et d’attention envers un faux régicide d’un Etat mollement fraternel.

Tu réajustas le plastron des membres Juunin de ton agglomération. Les épaulières métalliques verdâtres grognèrent suite à ce réajustement maladroit, entrainant un bougonnement animalier, arrachant tes deux commissures incandescentes. Ta tenue égyptienne, composées de quelques tissus légers opalescentes, finement constitués par les équipes de ta famille te permettait de te mouvoir assez facilement. Tu avais toujours eu pour habitude de changer les chaussures Ninja traditionnel pour un modèle fermé mais tout aussi léger dans la composition du tissu. Un savant mélange de coton finement aérien, renforcé par la composition d’un tissage en lin et de cuir cordovan pour sa robustesse. Tu marchais. Encore et encore. Observant ce qui t’entourait. Posément. Paisiblement. Sereinement.

Tu étais l’homme curieux. Tu étais ce petit-être découvrant le monde dans toute sa splendeur. Tu avais presque un quart de siècle et tu réussissais à t’émerveiller devant des choses simplistes. Pour beaucoup, cela te rendait encore trop jeunot pour avoir une place encore plus importante au sein des équipes spécialisées de Suna. Il fallait que ta personne grandisse intérieurement. Gardant ta composition physique. Ta jouvence était toujours appréciable en temps de guerre. Tes pas te guidèrent. Te faisant prendre quelques rochers que tu escaladas. Un seul ruisseau arachnéen. Sa larme liquide céruléenne se décomposait peu à peu à la venue du fort Hiver. Bientôt, le froid arriverait et, dans sa toute puissance, l’imposante neige couvrirait et gèlerait la végétation en un seul et unique claquement de doigts. Mère Nature était parfois joueuse.  Tu étais cet épéiste venteux qui découvrait un nouveau vent. Doux. Léger. Légèrement humide mais restant ô combien agréable. Tu étais bien loin de tes contrées sableuses. Les mères Dunes. Elles étaient loin.

Le ruisseau. Sa couleur. Sa courbe féminine. Cela te renvoya immédiatement au centre de ta personne. Ton cœur. Ton cœur développant maintenant depuis quelques années une concupiscente bestiale envers elle. Envers Yûna Shizuku. La gracile maitresse des Loutres. La gracile maitresse de ton cœur. Tu secouas rapidement la tête avant de te perdre dans des souvenirs libidineux et colorés de plusieurs teintes sentimentales et lilas. Tu te retrouvas au cœur de cette forêt. Au sein d’une espèce de légère plaine versatile. Quelque peu minérale. Quelque peu végétale. Tu regardas la mousse s’accrochant aux rochers olympiens. Tu la caressas. C’était une sensation assez particulière. Les personnes de Suna aimaient les plantes et la végétation malgré le terrain climatique dans lequel ils évoluaient, mais, cette espèce de sangsue végétale n’était nullement cultivée au sein de ton village. Du moins, tu n’en avais pas eu vent. De là, et malgré les nombreux arbres imposants te barrant à demi ta vue, tes yeux céladons se posèrent sur une antique bâtisse. Pour la deuxième fois de la journée, l’un de tes sourcils s’arqua. Un questionnement. Une envie de découverte. Un léger sourire sur tes lèvres. Le gamin était de retour. Le guerrier n’était pas présent en ce jour-ci. Nullement.

Le voyageur. Oui.

Tu marchas. La découverte était quelque chose d’intéressante pour toi. Après quelques minutes de déambulation, ta personne martiale arriva devant la porte principale.  Tu y pénétras. Tu t’arrêtas et regarda au sol. Tu ne te retrouvais pas seul dans un logis normalement inhabité. Tu n’avais aucune information sur la personne. Etais-ce un gardien ? Etais-ce un preux voyageur comme toi ? Etais-ce un voleur, cherchant un objet de valeur ? Ou encore bien, un déserteur cherchant un endroit pour se cacher ? Même si le Pays du Fer, même si neutre, ne serait pas la meilleure option au vu des nombreux samouraïs en armure métallique présent dans ses régions. Toi, bretteur du Kenjustu en avait déjà entendu parler. Maitrise du Chakra et fidélité était leurs deux principales qualités. Ils n’étaient pas des adversaires à sous-estimés. D’ailleurs, l’hypothèse que l’un de ses antiques guerriers soit ici te traversa pendant un bref moment l’esprit. Réflexe d’un factionnaire gradé, ton pommeau guida naturellement ta main halée. Une attraction qu’on apprend. Avec les années. La coupe recourbée de ton sabre était un plus dans un combat. Et tu espérais que le sang ne teinterait pas la lame d’orfèvre. Tu te faisais peut-être des idées. Tu avais besoin d’un repos journalier, d’ailleurs. Un surplus de mission amène à une personnalité qui brûle peu à peu. De l’intérieur.

Un soupire perça tes lèvres dans un sifflement légèrement aigu. Tu tiras finalement vers l’arrière ta longue crinière ivoire. Ta vision analysa les différentes composantes de la pièce principale avant que tu ôtes, à ton tour, tes bottes particulières. Avec délicatesse, et un pas feutré tu avanças. La demeure. Tu l’exploras avec lenteur. Tu regardas chaque recoin de chaque endroit. Il s’agissait d’une habitation du peuple. Le peuple. C’était ce que tu protégeais depuis que tu étais devenu Genin avec passion et difficulté.  Et par la suite, ton grade de Juunin développa ton envie d’être un éminent gardien. L’esclave était là. Tu étais à la fois le gardien du peuple mais aussi leur esclave. Ton épée ancrée dans le sol. Un boulet en acier accroché à ta cheville. Tu restais là. Devant les portes immenses de ton village. Cela n’était rien d’autre qu’une vision exagéré de ta condition de Ninja. Tu étais bien plus libre, en vérité. Mais tu aimais croire que tu étais un vrai  « Dorei. » Un serviteur. Et non un « Ei. » Un homme qui n’avait même pas l’étoffe pour être un serviteur du peuple. Une grimace s’imprima sur ton visage cuivré par le soleil et l’effort manuel. Cette pensée ne devrait pas venir en ton esprit en ce jour-ci.

Un jour non guerrier.

Finalement, après une certaine exploration de plusieurs longues et précises minutes, tu te retrouvas encore une fois au cœur du salon. Sur les tatamis anciens et non entretenus. Cumul de poussières et d’histoire. Des fantômes du passé à tes côtés, tu ne pouvais savoir ce qu’il c’était passé ici. Tu n’avais pas vu de signe de vie pour l’instant. Il te restait encore le jardin floral à voir. Sûrement immensité non entretenu où la végétation aura repris son droit. Similaire à l’imminente forêt émeraude, s’amusant de faire ce qu’il choisit. Tes membres étaient dans un léger engourdissement. Une hibernation musculaire. Une léthargie commune de ton esprit ainsi que de ton physique de démiurge. Le verbe éternel teinté d’ironie et de sarcasme comme le goût du tabac dans la bouche d’un fumeur.

Tu fis glisser les portes.

Et tu le trouvas.

Dos à ta personne. Trame théâtrale. Le crachin battant. Le grondement du Kami de la Foutre hurla. Tu analysas en même temps ton futur interlocuteur. Une longue chevelure incarnate. Une tenue traditionnelle du continent Ninja. S’adossant au barreau vertical, tu t’avanças de deux pas. Pas un seul de plus. Pas un de moins. Tu n’avais pas ta main sur ton fourreau. Pas cette fois-ci. Tu évitais toujours en premier le combat. Et ce n’était pas en ayant la main sur ton arme que tu l’éviteras.

Cette demeure comporte déjà des fantômes du passé, je ne pense pas qu’un de plus pourrait être utile.

Il te fallait tout de fois être prudent. Le ton de la plaisanterie n’était pas là. Une voix sérieuse. Posé. Mais calme. Tu regardas le sabre. Tu regardas le tien. Un sourire naquit sur ton faciès. Tu avais fois en l’humanité. Peut-être un peu trop selon certaines personnes.

Je n’ai pas ma main sur le manche de mon arme.

Tu engendrais un nouveau pas.

La pluie ne lavera pas le sang de nos vêtements. Je me nomme Hiko Ei. Junnin de Suna. Je viens de loin et je ne recherche qu’un abri, au vu de la pluie battante qui s’installe ici.

Tu effectuais un dernier pas. Tu te retrouvais à ses côtés.

Toi. Debout.

créée par Matrona

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