Trouver un titre n'est pas chose aisée ! Ryosuko Uzume
Il était tard, très tard.. Bien qu’elle haïssait le soleil, le crépuscule restait l’instant où elle savourait le plus sa journée. À la vue de ce ciel orangé, la Juunin fermait tel un robot son parapluie. L’astre ne dardait plus la place de ses rayons si dévastateurs pour le derme de notre petite chipie. La cadette des Uzume leva les pupilles en direction des cieux, quelques oiseaux dansaient au loin sur cette commune ligne que tout le monde appelle horizon. Puis au fur et à mesure que la nuit tombait et que les lumières artificielles apparaissaient, illuminant son chemin de mille et une couleurs. Vêtu de son habit blanc aux bordures azur la demoiselle pénétrait dans l’antre d’un des bars abondants les ruelles de Suna. De plus, c’était l’heure du repas, un autre moment tant attendu par notre petite Ryo ». La belle avait faim, très faim. Une telle Faim lui tenaillant l’estomac. Le besoin de nourriture fut fort, à tel point qu’elle eut l’impression d’avoir une bête monstrueuse dans son corps, jouant comme si de rien n’était avec ses entrailles, lui ôtant toute force physique, toute détermination. Alors, c’est poussé par le fort désire de repaître ce monstre qui sommeillait en son estomac, qu’elle commanda une vingtaine de Dango. La vingtenaire mangea, mangea, jusqu’à plus faim, couplant repas et coupes de Saké. Assis à table, les mains posées sur son ventre ondulant, un jeune serveur vint à sa table brandissant un papier sur lequel se trouvaient inscrits les frais de consommations de la belle. Les lèvres de Ryosuko se tordirent en un rictus sardonique. Ses finances lui permettaient tout juste de couvrir ses frais de logement ainsi que l’achat de son manga et ses figurines.
« Heu... J’ai une idée ! Si je te filmais pour rembourser la dette ? » Lançait ironiquement la belle avant d’effectuer une vaine tentative de fuite. Quelques misérables pas, ce fut le maximum qu’elle put faire en cet état pitoyable. Son ventre au bord de l’implosion réduisit drastiquement ses capacités motrices. Un long silence s’installa, les clients se turent et lorgnait en sa direction armée d’un regard des plus curieux. Elle se leva légèrement en prenant appui contre un mur. Ryosuko n’en menait pas large. Les autres civils présents en ces lieux susurraient quelques commentaires. Certains prirent la fuite tant l’attitude de notre chipie put paraître presque choquante. Les employés l’entrainèrent dans l’arrière-cuisine. Les assiettes de son repas s’empilaient à perte de vue. Pour la toute première fois de sa vie, l’utilisatrice du Jiton regrettait amèrement ses actes. La nuit s’écoula lentement, si lentement. Ses mains fripées jusqu’aux os, les vêtements couverts de liquide vaisselle, purent témoigner du long combat mené lors des quartes dernières heures. La Kunoichis eut une folle envie de crier, de vomir sa folie. Déployant son parapluie, l’unique porteuse de parapluie s’engouffra dans la masse en direction de son petit logement. Exténuée, Ryosuko s’effondrait tel un phoque sur son lit.
Le lendemain, alors que le soleil semblait être à son zénith, la dompteuse des vents roupillait toujours. Allongé de travers sur son canapé cuir, la jeunette ouvrait péniblement ses délicates pupilles. Un vif regard sur l’horloge la mise dans tout son état. Elle était en retard, très en retard même ! Et alors, dans une panique totale, elle prit direction des terrains d’entrainement, et ce sans même prendre le temps de fermer sa porte à clé. Sautant d’habitation en habitation, la Juunin n’en revenait pas. Comment avait-elle pu oublier un ordre du Kazekage, celui qu’elle admirait tant ! En effet, la veille, avant qu’elle ne se détruise les reins dans l’alcoolémie, maître Kazekage, Gaara, affectait à la belle un disciple. Surprise au premier abord, elle ne put tout simplement pas refuser un ordre de cet homme tant selon elle, le jeune homme reflète l’idéal masculin. Bref, la malchanceuse portait le doux nom de Miyake Kamikage. Arrivée sur les lieux, la Juunin cherchait du regard la jeune rousse. Celle-ci se trouvait à l’extrémité opposée de l’immense terrain d’entraînement. De quoi décourager davantage notre flemmarde. Dans le but d’attirer l’attention de Miyake, la paresseuse posa une main sur son épaule, puis la tourna au même instant.
« Je suis navrée du retard, je me présente... soudainement, elle coupa court à sa phrase. Un rapide regard balaya sa tenue vestimentaire. Ryo » se retourna sans plus attendre, ses joues prirent une teinte rougeâtre. Elle qui venait de quitter les lieux en toute vitesse ne prit point la peine de se vêtir décemment. Du haut de son Pyjama orangé sur lequel ornait une flopée de fleurs de lys, l’utilisatrice Fuuton n’en menait pas large. Dans le but de détendre l’atmosphère, l’idiote tenta de faire comme si de rien n’était, riant à pleine dent tout simplement.
» Eh bien... Ryosuko, enchantée, désolée pour le retard comme je disais. Pourrais-tu me parler de toi un peu ? Les choses que tu aimes que tu détestes ce genre de choses.»
Me réveillent en sueurs, je portai ma main à mon cœur qui battait fortement. » Encore... Encore ce rêve... » Je l'avais encore fait, ce rêve que je veux temps passé par-dessus, pratiquement chaque nuit où j'arrivais à trouver le sommeille ce rêve... C'est souvenir revenais sans arrêt, je revoyais ma mère se faire tuer sous mes yeux, du sourire satanique de l'homme qui lui avait volé la vie. Je me voyais moi faible et incapable d'aidée ma mère, les cries d'horreur des femmes et hommes de mon village tentant de se sauver de cet enfer, je revoyais les flammes qui gagnaient en vigueur le village détruisent tout sur son passage. Même si je voulais vivre normalement, mon passé me hantait les nuits, je fis glisser mes jambes hors du lit doucement posent mes mains sur ma tête comme si cela allait me changer les idées, je tournai le regard vers la fenêtre de ma chambre, la nuit était toujours présente, je détournai le regard pour le poser sur mon réveil matin, il n'était que deux heurs du matin, j'avais encore dormi que trois petits heurs. Soupirent, je sortis entièrement de mon lit pour me diriger vers mon bureau pour prendre mes vêtements, donc un jean noir déchirer à quelque endroit, un pull trop grand blanc et une veste sans manche noir a bordure noir avec une capuche orange où dans le dos étaient inscrit le kenji de croire de la même couleur.
Après m'avoir habillez, et avoir passé la brosse dans mes cheveux, je tournai le regard vers la fenêtre une seconde fois, il y avait une seule chose qui m'était bénéfice avec mon cas, les nuits étaient magnifiques, j'aimais me rentre sur le toit des édifices pour regarder les étoiles, du moins c'était mon avis personnel, d'autre ne l'aiment pas à cause du froid qui se trouvait à être complètement différent des journées étouffantes que l'on avait le jour... Oui enfin étouffant pour les gens en visite qui ne sont pas habituées à la chaleur ardente du dessert. Ma fenêtre étant ouverte, j'allais la fermer comme à chaque fois que je quitte la maison étant donner que si j'étais cher moi, elle était toujours ouverte. Suite a cela, je sortis tranquillement de ma demeure à pat de souris ne voulant pas réveiller Ryuzaki-san qui dort toujours. Comme la plupart du temps ou plutôt le trois-quarts du temps, je déambulais dans le village, c'était ce que je cessais chaque fois que j'étais pris d'insomnie ou que mes souvenirs viennent hanter mes rêves.
Je passai de ruelle en ruelle sans but tel un robot, je fis à plusieurs reprises le tour du village, tout était calme, enfin presque, le quartier des bars ne l'était pas eux, on attend plusieurs cris de joie des alcooliques totalement bourrer, alors que je passai en face un homme me percuta, je soupirai, je ne me donnais même pas la peine de regarder l'homme qui puait à plein nez l'alcool continuent mon chemin, enfin, c'était cela que je voulais faire, mais l'homme n'était sens doute pas de cet avis.
- Petite ingrate!! Hic comment oses, tu me rentrer dedans hic
Je me retournai face a lui le regardent fatiguer cet homme ne tenait même pas sur ses jambes correctement alors je ne dis rien, cela était inutile pour moi de parler a un homme totalement bourrer, je tournai les talons m'apprêtaient à partir, mais l'alcoolique m'attrapa par le bras, s'il n'était pas bourré, je l'aurais frappé... Mais j'ai comme principe de pas frapper un homme affaibli.
- Salle garce hic, tu croîs allez où comme ça ? hic j'y croîs pas les jeunes de nos jours!! Auucuunnee politesse hicc tu me dois des excuse petite prétentieuse! hic!
Ces paroles me mirent en colère. » Comment ça JE lui dois des excuses?!! C'est lui qui m'en doit!! « Je le regardai énerver par son comportement, je soupirai et leva le ton froidement.
- Je ne ferrais aucune excuse à un homme qui ne tient même pas sur ces jambes et qui ne réalise pas que c'est lui-même qui M'A rentrer dedans !
- QU-Quoi !? hicc tu ose insinuer que c'est ma faute? Hic salle peste !
L'homme leva la bouteille en ma direction visiblement énerver que je lui ai dit la vérité en pleine face, alors que j'allais l'immobiliser un second homme arriva et arracha la bouteille de ses mains. L'homme qui venait d'arrivée força l'alcoolique à s'incliner et le fit lui-même.
- Je suis affreusement désolé mademoiselle, mon oncle n'est pas très sympathique, je vous pris de lui pardonner. Regardent son oncle toujours incliné. Excuse-toi oncle-shyo!
L'oncle shyo marmonnent dans sa barbe des excuses, je n'émit qu'un simple ''Hnn'' puis tourna les talons continuant finalement ma route, je finit par me rentre sur le toit de l'édifice le plus élever de suna, sais a dire la tour du kazekage, le seul homme... Ou plutôt l'une des seules personnes que je respectais, pendant mon enfance j'ai dû l'espionné sous la demande de sont père, j'ai pu apprend beaucoup de choses sur lui, comme le démon qui a jadis porté, cela dit encore aujourd'hui je ne comprend pas la réaction des habitants de l'avoir rejeter et hais à ce point, regarder le maintenant, il est kazekage, je l'admire car il a réussi à faire ce que je n'est pas pu, il est passé par-dessus ses démons alors que moi je reste prisonnière d'elle, un jour je l'espère, j'aimerais moi aussi passé outre mes démons.
Alors que le soleil commença à montrer le bout de son nez, je me relevai, il était temps pour moi de rentrer, car pas plus tard qu'hier, Gaara-sama m'avais convoquer pour m'informé que j'avais entraînement aujourd'hui même, il m'avais insigner un nouveau sensai. J'étais heureuse de cette sympathie, j'avais encore besoin de m'entrainer, surtout que je ne contrôle toujours pas ma technique héréditaire que j'ai pourtant utilisée dans le passé, mais j'imagine que cela était simplement à cause de mes sentiments forts de rage et de tristesse que j'avais ressentie à ces moments-là. Je descendis du toit pour ainsi prendre la direction de ma résidence qui se trouvait à l'autre bout du village. Après une trentaine de minutes, j'arrivai enfin chers moi, le soleil avait déjà commencé a réchauffé l'air glacial de le nuit passé, j'entrai donc dans la maison, où une odeur de croissant et de chocolat se fit sentir. Encore aujourd'hui, comme chaque matin que je me réveillais en pleine nuit, ryuzaki-san a prit le temps de me faire mon plat préférer, je rentra dans la cuisine, des croissants au chocolat étais posé sur la table a coté d'une petite feuille plier en deux. Je m'assois a table prit un croissant et croqua dedans toute en entreprenant de lire le message que m'avait laissé mon tuteur.
• Coucou ma petite puce, alors cette balade, elle était bonne ? Je t'est préparé tes croissants préférer, au chocolat, tu dois sourire en ce moment pas vrai? Tu as entraînement ce matin pas vrai ? J'ai déposé ta bourse et ta pochette de kunai sur la table du salon, tout devrait y être, je rentrerait tard ce soir je suis désolé, tu ira mangé au resto? Demain, je finis plus tôt nous pourrons manger ensembles promis, je sais que tu n'aimes pas manger seule, je te connais ! Allez passe une bonne journée miyake-chan Ryuzaki. •
Effectivement, je souriais, Ryuzaki-san était très intentionné, je le respectais, il me considérait comme sa propre fille, dire que ma mère avait un si bon ami, je me demande pourquoi elle ne vivait pas a suna. Finissant mon croissant je me levai posent la feuille sur la table et entra dans le salon pour prendre ma bourse et ma pochette que je vérifiai, tout y était bien sûr, kunai , shuriken et bombe fumigène, je l'accroche a ma taille. Je pris la direction de la salle de bains pour aller chercher un chouchou pour attacher mes cheveux couleurs de feu, je fis une queue-de-cheval laissent deux mèches tombées chaque côté de mon vissage laissent ma franche tel quel, avec ma mèche habituelle qui cachait une partie de mon nez étant plus longue que le reste. Je retournai dans la cuisine attrapa un second croissant et sortie de ma maison pour me diriger vers le terrain d'entraînement où j'avais rendez-vous.
Au terrain, il n'avait toujours personne, j'allais m'asseoir plus loin sur des rochers attendant mon nouveau sensai. Cela dit après une bonne heure et demi, il n'y avais toujours personne, j'étais un peu fatiguer d'attendre. Étant dans mes pensées, je ne sentis pas la présence derrière moi jusqu'à ce qu'elle pose la main sur mon épaule pour me retourner, je me trouvais donc en face d'une femme au cheveu orangé et des yeux océan, j'étais un peu ébranlez en la regardent.
- Je suis navrée du retard, je me présente...
Elle coupa net sa phrase regardent son habit actuel puis se retourna précipitamment, il y avais de quoi!! Mon précédent sensai étais un homme étrange certes je ne m'attendais pas à voir pire, mais de rencontrer mon nouveau sensai, vêtu d'un pyjama orangé avec des fleurs de lys, ÇA! Je ne mis n'attendait pas du tout ! J'aurais définitivement tout vue ! La femme se retourna vers voir un peu gêner, pas étonnant.
- Eh bien... Ryosuko, enchantée, désolée pour le retard comme je disais. Pourrais-tu me parler de toi un peu ? Les choses que tu aimes que tu détestes ce genre de choses.
Je n'étais pas sur de vouloir parlez de moi, mais si je voulais une bonne entente, il le fallait, je pris donc une grande inspiration avant de poser mes yeux verrons dans les yeux océan de ma nouvelle sensai.
- Je m'appelle Miyake, Kamikage Miyake... J'ai 16 ans, je vis a suna depuis 6 ans maintenant, je maîtrise le raiton et le Hijutsu et j'ai un assez bon contrôle sur mon chakra, je vit avec un vielle ami à ma mère, j'aime toute les félins, me battre et la nourriture, en particulier les ramens. Ensuite, je déteste les gens qui jugent les autres, les maltraitent, les personnes qui se battre contre des plus faibles, je déteste être faible et ... Perdre des gens qui me sont chers sans avoir rien pu faire..
La dernière phrase avait été dite plus basse, étant donner que je disais surtout cela en prenant exemple sûr ma mère qui avait perdu la vie. Regardent Ryosuko-sensai, je ne dis plus un mot, attendant de voir ce qu'elle allait me dire.
FICHE PAR ROMANE DE ARTSOUL
Dernière édition par Miyake Kamikage le Ven 10 Jan - 0:01, édité 1 fois
Trouver un titre n'est pas chose aisée ! Ryosuko Uzume
Les oiseaux chantaient à tue-tête et le vent soufflait sans la moindre retenue. Cachée sous son parapluie vêtue d’un pyjama orange, orné de fleurs de lys, le minois rougeâtre, la demoiselle avait honte. Maître Kazekage venait en effet de lui confier la tâche ardue de devoir entraîner, d’élever parmi l’élite du village, une petite Kunoichis répondant au nom de Miyake. Sa déception fut telle qu’elle eut envie de se frapper au visage, mais ne put, de peur de se ridiculiser davantage devant son premier disciple. Ryo » reprit rapidement ses esprits afin de saisir le sens des belles paroles de sa disciple. Celle-ci semblait avoir de bonnes valeurs, ainsi qu’une certaine élégance. Avec une joie triomphante, propre aux seules filles aussi dynamiques, sans une ombre de gêne ou de modestie affectée, elle pointa du doigt la rousse et tout en lui lançant un clin d’œil, la chipie clama.
« Je t’apprécie bien, ce sont de belles valeurs que tu clames là ! Et bien, à mon tour Ryosuko, je suis Juunin du village de Suna ! J’aime particulièrement toute sorte de nourriture, tant que c’est comestible, je mange. Ah, aussi, je suis allergique au soleil donc je me cache en permanence sous ce parapluie. J’habite seule avec mon chien Sadaharu, je te le présenterai un de ces jours. Ah j’allais oublier, j’ai 22 ans ». Annonça Ryosuko consciente qu’elle mentait là sur son âge. Sachant éperdument qu’un jour elle serait vieille, notre protagoniste eut pris la fâcheuse habitude de se voiler la face quant à son véritable âge. Après tout, la belle s’approchait dangereusement de la trentaine, et ce sans avoir mis le grappin sur ce ténébreux Kazekage ! Une fois les présentations faites, la coutume eut voulu que Ryosuko teste sa disciple quant à ses aptitudes aux combats. Cependant, cette dernière, éprise de paresse, n’eut la moindre envie de se lancer dans un test de ce genre. Sa main droite vint à se poser sur sa hanche tandis que l’autre maintenait fermement son précieux parapluie. Du haut de ses sandales, la Kunoichis semblait pensive tandis qu’un silence de marbre régnait en ces lieux. Puis, d’une voix énergique, la Sunajin demanda à Miyake.
« Je crêeeeeeeeeeeeeeeeve de faim. Que dirais-tu d’aller prendre le petit déjeuner ? On verra ensuite plus en détail tes aptitudes. »
Les pupilles de Ryosuko s’illuminaient à la simple idée d’un succulent repas. Il était clair qu’avant d’être Shinobi, la « petite rousse » était une fine gourmette. Dès lors qu’elle parlait de nourriture, l’utilisatrice du Jiton donnait libre cours à ses véritables sentiments. Mâchoires et poings serrés, un fin filet de bave s’écoulait dangereusement de sa bouche. Nombres images traversaient sont petit esprit simplet. Agneaux, moutons, bœuf, cheval, saumon. Toutes ces pauvres animales qui allaient arpenter la table, à la merci de la Juunin du sable. Rapprochant soudainement son facies de celui de sa disciple, la vingtenaire se montrait de plus en plus pressante. D’une voix passionnée, elle martela sa disciple de question.
Le soleil chaud du désert, éclaircissait le terrain d'entraînement, ces rayons réchauffaient la terre déjà assécher. Cette chaleur pourrait être étouffante pour plus d'un, mais j'étais habitué à ces chaleurs ardentes, c'est pourquoi mon attention n'étais pas posé sur cette chaleur, mais plutôt sur ma nouvelle sensai en face de moi. Je venais de me présenter, c'était à son tour maintenant, je l'écoutai donc attentivement.
« Je t'apprécie bien, ce sont de belles valeurs que tu clames là ! Et bien, à mon tour Ryosuko, je suis Juunin du village de Suna ! J'aime particulièrement toute sorte de nourriture, tant que c'est comestible, je mange. Ah, aussi, je suis allergique au soleil donc je me cache en permanence sous ce parapluie. J'habite seule avec mon chien Sadaharu, je te le présenterai un de ces jours. Ah j'allais oublier, j'ai 22 ans ».
Allergique au soleil, c'était possible une telle chose ? Je plains ma sensai qui vit ici a suna, là où le soleil est toujours présent a part la nuit. Il y avait une seule chose que j'avais réellement apprise sur elle, dans cette présentation, gourmette, Tant que c'est comestible, elle le mange ? J'étais aussi gourmette, mais sur se coter, j'étais battu, je détestais les champignons, les oignons et tout ce qui est amer, jamais je ne pourrais en manger ! Un silence, c'était placé entre nous, je ne contais pas brisées ce silence, car j'étais plutôt dans ma tête, Ryosuko-sensai semblait dégager une aura de fierté et de force en tenant son parapluie au dessus d'elle et de son autre main, placé sur ses hanches. Il semblait sûr d'elle, je ne pouvais que l'envier, moi qui a du mal à me lier à cause de ma blessure il y a 6 ans, ma peur de perdre des gens, j'espérais qu'un jour, je pourrais ressembler à Ryosuko-sensai. Si un jour, je pourrais aussi dégager cette aura de moi, j'en serais plus que fière.
« Je crêeeeeeeeeeeeeeeeve de faim. Que dirais-tu d'aller prendre le petit déjeuner ? On verra ensuite plus en détail tes aptitudes. »
Choquer, c'était le seul mot que je pouvais dire pour me décrire dans le moment précis, je venais de comprendre un autre coté de ma sensai, tu étais paresseuse, ne pas me faire passer directement un test d'aptitude comme est la coutume habituelle, elle voulais allez déjeuner, sans comté qu'elle bavait sans retenue sous mes yeux. Puis soudainement elle se retourna vers moi et s'approcha, je fusse encore plus sous le choc, je ne m'attendais pas a ce qu'elle s'approche autant.
« Alors ! Alors ! De quoi as-tu faim ?! »
Il y avait tant de passions dans ces paroles, sens étais hallucinant, qui ne se sauverait pas en voyant un tel spectacle ? Tout le monde a part les fous ne se sauverait pas, des gens comme sensai apportait, le rire, la bonne humeur, l'amitié et la joie, qui serais assez fou pour laisser cela de coter? Pas moi, car depuis plus de six ans, je n'avais pas éclaté de rire de la sorte. Oui, j'avais éclaté de rire, qui ne le ferait pas après avoir vue cela, personne. Depuis mon arrivé, j'avais souri, rit légèrement, mais pas éclaté de rire au point de n'être même pas capable de m'arrêter. Après cinq bonnes minutes je me calme quelque peu, riant encore un peu, mes mains placées sur mes genoux ayant trop rit je levai les yeux vers ma sensai.
« Ahahah désoler Ryosuko-sensai mais hihihi vous voir comme ça m'a fait trop rire ahahah »
Je me redressai placent ma main droite sur mes lèvres pour stopper les quelque rire qui me restais et repris mon souffle. J'avais déjà déjeuné ce matin, mais je ne pouvais refuser un repas et je savais parfaitement ce que je voulais manger.
« Ce que je veux manger... Des Ramen épicés a l'aile~ »
Accueil Carte Géographique Carte Politique 
Dernières images 
Rechercher 
S'enregistrer 
Connexion 
![Trouver un titre de RP n'est pas aussi aisé que l'on pense ! [ Miyake Kamikage] Left_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/left_bar_bleue.jpg){kind=small}
![Trouver un titre de RP n'est pas aussi aisé que l'on pense ! [ Miyake Kamikage] Empty_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/empty_bar_bleue.jpg){kind=small}
