(RP "hôte")

La belle était toujours sous l'emprise du Tsuchikage, incapable de faire le moindre mouvement, elle n'était pas maître de son corps, lui seul l'était et il allait en jouer, oh oui. Passant un bras dans le dos de Nëssa, il la souleva un instant, pour la porter quelques centimètres plus proches de la tête de lit. La reposant sur les draps satinés, il plaqua les mains jointes de la douce contre le mur, les faisant fusionner avec celui-ci, la scellant ainsi, lui permettant de libérer sa main. Le bout de ses doigts dévalaient le corps de son âme sœur sans la moindre hésitation, sans pour autant faire grand usage du nouveau jouet qu'il lui avait révélé un instant plus tôt.

Se couchant sur elle, son visage vint se joindre au sien, mêlant leurs lèvres dans un doux baiser. Elle ne pouvait plus rien voir désormais, elle ne pouvait plus savoir où étaient les membres de son amant et donc ne pouvait plus prévoir leurs actions, tout ce qui allait arriver ne serait que surprise. Quelques instants plus tard, une de ses mains vint caresser délicatement une cuisse de Nëssa, s'approchant doucement des parties les plus intimes de son corps. Mais alors qu'elle allait les atteindre, le contact entre la peau des deux êtres fut rompue. Cependant, la langue trônant au milieu de la paume du Kage eut tout de même le temps de prendre un bref aperçu du gout de la féminité de la belle.

De son index, glissant sur le torse de la femelle, il semblait y dessiner quelque chose, il s'agissait là, du seul contact, autre que leurs lèvres, que les deux adultes avaient à ce moment là. Toute l'attention que pouvait porter son corps à cet instant était rivée sur ce fameux index. Bien entendu, il ne s'agissait que d'un leurre. Quelques secondes plus tard, la main qui avait disparu légèrement plus tôt refit son apparition sur le corps de Nëssa, se posant cette fois-ci directement sur ce qui était sans aucun doute sa zone la plus érogène. Tandis que sa langue flirtait avec la protubérance se trouvant là, son majeur et son annulaire s'amusaient à caresser l'extérieur de l'organe féminin se dévoilant à eux.

La bouche de Naotaka se délia alors de celle de son amante, se plaçant juste quelques centimètres au dessus d'elle, la comblant d'un regard et d'un sourire amoureux. Il allait devoir la laisser respirer un peu dans les instants qui allaient suivre. Il avait déjà joué avec elle durant de longs moment et la titiller n'était plus la meilleure manière de la satisfaire, c'est ainsi que les deux doigts du Tsuchikage pénétrèrent leur cible, laissant toujours jouer la bouche se trouvant au milieu de la main de Naotaka. Doucement, il accélérait les mouvements de va et vient de ce qui était, à cet instant, ses outils de plaisir de la belle.

Mais de la même manière que simplement la caresser n'allait pas la combler, vu ce qu'ils avait faits dans les minutes précédentes, une simple main n'allait pas non plus faire l'affaire. C'est alors que les doigts s'extrayaient de leur mine d'or. Ce fut nul autre que le bâton de joie de Naotaka qui vint alors prendre leur place, fort de toute sa robustesse et de toute sa puissance. La main du Kage était cependant toujours en place, laissant sa seconde langue faire son travail, jouant également avec l'organe de la belle, la stimulant donc au plus haut point, sans même forcer.

Ce qu'elle pouvait ressentir à présent n'avait rien à voir avec ce qu'il avait pu lui montrer jusqu'à présent, c'était un tout autre univers de sensations, comme si deux personnes s'occupaient d'elle au même moment, sans doute une pensée qui avait traverser l'esprit de Nëssa à de maintes reprises. Eh bien à lui seul, Naotaka en était capable et il ne comptait pas s'arrêter là. Alors que ses dents vinrent croquer la chaire de sa douce sur son cou, son lieu de morsure de prédilection, sa main libre empoigna le divin fessier de la Kunoichi.

Le mâle imprégnait sa belle de toute sa masculinité avec des mouvements variant en vitesse et en intensité. Elle était clouée au mur, coincée par ses crocs et sous l'emprise de sa virilité, mais ce n'était pas terminé oh non, ça serait trop simple. Elle lui avait dit un jour, au détour d'une conversation : « Seulement si c'est toi~♥ » Il allait rappeler cette réflexion à ses bons souvenirs. Alors que le Kage gémissait de plaisir, sans doute autant que sa compagne, sa main agrippée aux fesses de sa chère et tendre vint ravir l'orifice le plus proche. C'était à nouveau la langue présente au milieu de la paume qui fit le travail, tout d'abord glissant autour, puis finalement en s’insérant dans le corps de Nëssa.

C'était avec tout ce qu'il avait qu'il prenait possession de son amante, lui révélant tout son amour, tout son désir, toute sa passion pour elle. Le corps de la belle était légèrement soulevé, si bien que seules ses épaules touchaient leur lit. Libérant l'emprise qu'avaient ses crocs sur le cou de Nëssa, il souffla à son tour, sans pour autant ralentir la cadence. Il allait la combler, du mieux qu'il pouvait, lui donner tout ce qu'il avait. Oh ça oui, elle serait comblée...