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 [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1)

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MessageSujet: [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1)   [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1) EmptyJeu 13 Mar - 1:20


Notre conte commence il y a de cela près d'un siècle. Le monde est divisé en d'innombrables petits territoires, tous dirigés par un clan différent. Les clans du monde entier se livraient une guerre permanente, et ce depuis plusieurs générations déjà. Non pas une guerre ouverte, opposant différentes nations pour le contrôle d'un territoire, mais une sorte de guérilla ; de petites escarmouches isolées par-delà le monde, des batailles pour la survie. C'était une guerre sale, une guerre longue, douloureuse, de laquelle personne ne sortira indemne. Chaque individu vivant à cette époque possède une histoire qui lui est propre, un caractère bien trempé, distinct de celui des autres, forgé par les expériences uniques qu'il a vécues ; mais on ne s'intéresse pas à n'importe qui.

Malgré les séparations du monde en d'innombrables terres claniques, un système mondial de "nation" est en place, une sorte de système politique et économique régissant chaque pays différemment. Les clans en guerre ne formaient au final que la force militaire de chaque pays, se livrant à une guerre éternelle pour le contrôle total du territoire de leur nation. Un but bien entendu utopique, qui sera la source de la plus longue et la plus sanglante des guerres connues de par le monde entier jusqu'à aujourd'hui. Un homme tout particulier a un destin et un passé des plus intéressants au sein de ce monde. Un homme seul, détaché de tout clan depuis son enfance, s'acharnant chaque jour pour survivre jusqu'au lendemain. Cet homme, il était connu à travers le pays du feu sous son surnom :

-Hahaha ! Mais oui, de toute manière, les ninjas ne sont que des déchets !
-Des barbares tu veux dire !
Les rires font échos au sein de cet établissement coquet de la capitale politique du pays du feu. Les hommes présents dans cette assemblée sont des civils, venus arroser leur fin de journée, la plupart déjà quasiment ivres morts.
-HAHAHA
Le rire tonitruant résonne dans l'enceinte de ce qui semble être une taverne, où tous rigolent de bon coeur, d'un rire presque noir, rigolant au final de la chose qui les blesse le plus.
-Et le plus barbare de tous, le ringard qui se fait appeler le Saruta-hiko ! Hahaha !
-BWAHAHAH !
De nouveau, il rigole un ton au-dessus des autres, s'esclaffant, régurgitant une partie de sa boisson d'une manière des moins propres et donne une tape sur le dos du dernier à avoir craché sur les ninjas. Le civil se retrouve aussitôt courbé en deux, la tête fracassée à travers la table sur laquelle il buvait jusqu'alors. Son corps chutait vers l'avant tandis que l'auteur du coup terminait sa pinte après son éclat de rire.

Peu comprennent, mais tous rigolent bien vite de la chute de l'ivrogne, mettant sa perte d'équilibre sur le dos de l'alcool consommé en bien trop grande quantité, plutôt que sur le dos du puissant coup qu'il venait de subir. Telle était la vérité de Saruta-hiko. Un homme solitaire, un mercenaire utilisé par les ninjas pour effectuer le sale boulot quand ils ne voulaient pas se salir les mains. Un homme hait par sa supposée cruauté et barbarie sans limites par les civils même de son pays. Les clans qui faisaient appel à lui se livraient à un petit jeu, faisant courir des rumeurs à son sujet, lui accordant des faits et des capacités largement au-delà de ses moyens. Une façon d'effrayer ses opposants, d'inspirer la peur chez ceux qu'il allait viser dans ses contrats. La guerre mentale est une formidable arme quand bien utilisée et si les ninjas se battaient depuis plusieurs générations avec des armes bien physiques, ils n'étaient pas en reste côté manipulation de masse. L'histoire de "Saruta-hiko" en était une preuve vivante.

À vrai dire, Naotaka faisait plutôt tache dans ce décor d'ivrognes. La plupart étaient des hommes plutôt chétifs, avec au mieux, à peine assez de masse musculaire pour soulever leurs différents outils de travail. Le tout à tel point qu'on pouvait presque deviner la profession de chacun d'entre eux à leur simple carrure. Assis sur son tabouret, il les dépassait bien tous d'au moins une tête de haut. Il était bien clair qu'il n'était pas un civil comme les autres, mais il faisait partie des bienfaits de l'alcool d'omettre ce genre de détail pour le cerveau humain, tant et si bien qu'au final, il se fondait dans la masse comme si de rien n'était.

Il n'avait pas particulièrement une très haute estime de lui, mais il appréciait faire paraître autrement. S'habiller richement, prendre les gens de haut, ne parler de lui comme d'un être supérieur, jouer des rumeurs aberrantes à son sujet en quelque sorte. C'était là un de ses jeux favoris lorsqu'il était avec la plèbe. Cela dit, malgré tout, il ne supportait pas qu'on salisse son nom et la réflexion de l'ivrogne, même si à moitié fondée, lui était restée en travers la gorge. C'était la raison pour laquelle il avait déjà rejoint le monde des songes, envoyé directement faire dodo par le coup de Naotaka. Comme à l'accoutumée quand une taverne est remplie d'ivrognes et que les premiers commencent à s'écrouler, une bagarre éclate.

Ce n'est qu'une petite minute plus tard que le colosse sortit de l'établissement, sa pipe traditionnelle au bec. Il se figea un instant, mettant la main dans sa poche : quelque chose manquait. Un air embêté, il semble chercher dans sa veste avec un peu plus d'attention, une poche, puis l'autre, puis en y mettant les deux mains. Nous sommes en plein début de soirée et la ruelle est bien calme. D'ailleurs, aucun son ne sort de la taverne, étrangement. Au bout de quelques instants, le colosse pousse un soupir et se retourne, poussant les portes de l'établissement duquel il venait de sortir pour aller chercher ce qu'il avait, de toutes évidences, égaré. La cinquantaine de civils qui étaient occupés jusqu'alors à se saouler au possible était toujours bien présente dans la taverne, mais bien plus calme. En effet, tous étaient encastrés dans les murs, le sol et le plafond, de la tête jusqu'aux épaules.

Il s'arrêta sur le pas de la porte, se grattant le menton, observant la scène chaotique se présentant sous ses yeux. Perplexe, il semble incapable de retrouver où il s'était tenu et avait pu faire tomber l'objet de sa quête. Poussant un nouveau soupire, il entama alors une autre forme de quête. Il entreprit de faire les poches de tous les corps en exposition. Les unes après les autres, il plongeait ses mains sans la moindre honte aussi loin qu'il le pouvait, fouillant le moindre recoin de tissu que possédait l'établissement. Au bout de quelques minutes et plusieurs dizaines de fouilles infructueuses, il parvint finalement à mettre la main sur son Graal : un paquet d'allumettes. Sortant à nouveau de l'établissement, et pour de bon cette fois-ci, il gratta l'objet durement gagné contre sa boite, l'allumant d'une étincelle qui prit vie, pour finalement braiser le contenu de sa pipe. Inspirant fortement, c'est dans un souffle de satisfaction que Naotaka lâcha au-dessus de son visage un petit nuage de fumée toxique. Fichant ses mains dans ses poches, il commença alors à se diriger vers la bâtisse où se trouvait son lit providentiel.
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MessageSujet: Re: [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1)   [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1) EmptyJeu 13 Mar - 1:30


Doucement, avec cet air de quiétude, Naotaka se dirigeait vers ce qui lui ferait office d'hôtel pour la nuit. Avec ses différents contrats, il était devenu plutôt bien vivant, adoptant un niveau de vie très aisé. Ainsi, lorsqu'il se déplaçait à la capitale politique du pays pour se divertir un peu, se vider la tête de son quotidien, il n'hésitait pas un seul instant à s'installer dans les établissements les plus riches de la ville. Après tout, il en avait les moyens et si jamais il claquait toute sa fortune en un seul séjour, deux ou trois contrats lucratifs suffiraient à lui remplir à nouveau sa bourse. S'il n'était pas rare de le voir séjourner quelques heures dans des établissements de jeu ou des sources chaudes pour se détendre, ce ne serait pas le cas ce soir. A la carte de la nuit : Repos !

Quelques minutes plus tard, le colosse était allongé dans son lit, légèrement adossé contre le mur, ses pieds dépassants pourtant du bout du matelas. Il semblait songeur, les bras croisés derrière la tête, fumant toujours tranquillement sa pipe. Fermant les yeux, il s'imaginait être là où il le désirait, avec qui il le désirait... Ahhh... Nëssa... Ça faisait quelques temps déjà qu'il l'avait vue pour la dernière fois, lors de leur rencontre complètement endiablée au bord de cette fameuse source. Si seulement il pouvait rouvrir les yeux et l'avoir à ses côtés, fraîche et disponible rien que pour lui, qu'ils puissent passer une nouvelle nuit de folies ♥. C'est un sourire aux lèvres qu'il ouvrit ses yeux, espérant au plus profond de lui-même que son rêve utopique soit une réalité. C'était tout bonnement impossible, mais ne faisons-nous pas tous la même chose ?

Lorsque les mirettes du bellâtre s'ouvrirent, qu'elle ne fut pas sa surprise de constater que son vœu s'était plus ou moins réalisé ! Ce n'était pas Nëssa, hélas, mais une femme était belle et bien apparue, assise sur lui, comme prête à chevaucher toute sa virilité. Subtilité cependant, la femelle tenait un Kunai contre le cou du colosse, le gardant donc en respect, prête à le tuer. La position et la vue qui s'offraient à Naotaka étaient des plus plaisantes à dire vrai, tant et si bien qu'il ne prêtait pas attention un seul instant à la menace de mort qu'elle représentait. Baissant les yeux, le colosse attarda son regard au beau milieu du décolleté de son assaillante, jugeant à vue d'œil un bon 90C : bien plus qu'il n'en fallait pour satisfaire un homme en gros. A peine eut-il le temps de laisser s'échapper un sifflement impressionné par sa vision que la main libre de la jeune femme empoigna ses bijoux de famille de façon peu orthodoxe, crispant aussitôt le colosse.

-N'y pense même pas !
-N'agissons pas contre nature, je ne suis qu'un homme après tout, il m'est impossible de ne pas y penser.
Un léger silence s'installe, la tension commence doucement à monter dans la pièce.
-C'est pas très bien de s'introduire chez les gens comme ça. Ils n'ont pas des lois contre ça dans ce pays ?
-Arrête de te foutre de ma gueule Saruta-hiko ! Si tu la fermes pas rapidement, ta tête va rouler sur le sol !
-Alors, loin de moi l'idée de vous perturber dans vos menaces, mais je doute très honnêtement que vous soyez en mesure de détacher ma tête du reste de mon corps avec cette arme.
Un sourire quasiment malsain apparaît alors sur son visage qui ne semble absolument pas inquiet de sa situation.
-La seule chose que vous pourriez faire dans cette position cependant, c'est de...
Naotaka fut aussitôt coupé, au milieu de sa phrase, le Kunai de la Kunoichi prend le chemin de sa carotide, pour tenter de l’exécuter froidement, punissant les paroles impies qu'il s'apprêtait à proférer. Un son d'impact résonne ; pas vraiment ce à quoi on pouvait s'attendre venant d'une arme métallique perçant la chaire. Le Kunai tombe au sol, la femme est surprise, le colosse n'avait pas bougé d'un centimètre.
-C'est très impoli d'essayer de tuer les gens en leur coupant la parole... littéralement... vous savez ?

Cela dit, la comédie avait assez durée. D'un puissant coup de reins, le colosse propulsa la Kunoichi dans les airs au-dessus de lui, la faisant bondir de près d'un mètre en un instant à peine. Se déplaçant vivement, il retomba sur elle, inversant leurs positions précédentes, c'était à son tour d'être assis sur elle. Il se saisit rapidement des poignets du ninja dans sa main droite, qu'il plaça au-dessus de la tête de la femelle, qui devait faire 1m70 tout au plus et qui par conséquent était assez petite par rapport au monstre qu'était le ninja. Le tour de force dont il avait fait preuve pour se défaire de "l'emprise" de son assaillante était totalement impossible pour la Kunoichi tant Naotaka était lourd comparé à elle. Il l'écrasait presque, volontairement qui plus est. Tant bien même aimait-il les femmes, il n'avait pas la moindre envie de faire de quartiers à cette dernière.

-Bon, vais-je enfin savoir la raison de cette intrusion ?
-... Je dois te transmettre un contrat...
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MessageSujet: Re: [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1)   [Flashback] Lorsque deux légendes se rencontrent (1) EmptyJeu 13 Mar - 1:41


On entrait enfin dans le vif du sujet. Elle était donc là pour proposer un contrat au Saruta-hiko. Cela dit, le moins que l'on puisse dire était qu'elle n'avait pas spécialement la manière pour le faire. Venir demander un service en menaçant de mort au préalable était pas vraiment la façon idéale de présenter la chose à vrai dire. Naotaka restait perplexe à cette annonce, essayait-elle de se dédouaner de toute responsabilité de son acte tant répréhensible ? Difficile à savoir, mais il y avait un moyen très simple de vérifier rapidement les dires de la Kunoichi.
-Un contrat ? Il fallait le dire tout de suite ! Eh bien, où est-il ce contrat ?
La femelle semblait gênée par la question, déviant son regard, comme si elle cherchait une issue du coin des yeux. C'était une peine perdue bien évidemment. Ses mains étaient liées et elle était contrainte de répondre à la question du colosse si elle voulait être épargnée.
-Sous...Sous mon shozoko
Le visage du bellâtre sembla s'illuminer en un instant. Bien que le corps de la Kunoichi était complètement caché par ses vêtements, les formes qu’induisait sa tenue de ninja traditionnelle semblaient être particulièrement plaisantes. Le tout si bien que la simple idée de devoir fouiller sous ses vêtements était incroyablement attractive.

A dire vrai, Naotaka s'en donna à cœur joie. Passant sa main libre sous le tissu qui recouvrait le corps de la Kunoichi, il la faisait glisser sur la peau douce de la jeune femme, amusé de la voir s'efforcer d'éviter le contact visuel avec son ravisseur. Bien entendu, il en profita légèrement en passant. Il ne fallait pas se mentir, le colosse n'était qu'un homme parmi tant d'autres. Le fait amusant de la chose était certainement de constater l'absence d'indications de la Kunoichi, qui apparemment ne prenait pas si mal que ça que la main du Saruta-hiko se révèle être un peu baladeuse. En s'apercevant de la chose, Naotaka s'amusa à jouer avec les nerfs de la femme comme il pouvait le faire avec sa tendre Nëssa : en diffusant de son chakra de manière fourbe, stimulant les diverses zones érogènes, mais de manière très furtive. Elle se débattait légèrement, semblant presque refuser ce qui se produisait, sans pour autant vouloir que ça s'arrête. C'était une situation des plus amusantes pour le colosse, jusqu'au moment où une voix venant de derrière lui le stoppa net dans son acte.

-Saruta-hiko !!! Arrête de tripoter mon fils ! Ton contrat est ici !!

C'était, bien entendu, une situation des plus délicates pour Naotaka, qui sursauta lorsqu'il se rendit compte qu'il était victime d'un Genjutsu pernicieux de la part du ninja qu'il s'amusait à peloter.
-NANIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ?
Il bondit en arrière, se retrouvant debout à quelques centimètres à côté du nouvel arrivant, sans même daigner lui accorder un regard, se mettant en position de garde par rapport au premier ninja ayant fait son apparition. Un air de dégoût était visible sans le moindre mal sur son visage. L'illusion se stoppa, et ce qui semblait être une jeune Kunoichi plantureuse se révéla n'être autre qu'un putain de déchet de gamin de merde !

Fixant toujours le petit merdeux sans le quitter des yeux, Naotaka attrapa le parchemin que lui présentait le père du ninja. A mesure qu'il déroulait le contrat pour le lire, le ninja lui expliquait certains détails qui n'apparaissaient pas forcément dans les informations mises à disposition.
-La cible fait partie d'un puissant clan au pays du vent. Il nous faut sa tête.
Ils étaient bien des étrangers après tout. Cela expliquait un peu le comportement qu'avait eu le premier ninja avec lui un peu plus tôt, s'en méfiant, allant jusqu'à le menacer et même tenter de le tuer. C'était sans doute un moyen de vérifier un tant soit peu les rumeurs circulant autour du colosse.

-Chikamatsu Monzaemon, hein ? C'est un gros poisson.
-Tu ne t'en sens pas capable, Saruta-hiko ? Si tu es trop faible pour cette mission, nous irons voir quelqu'un de plus compétent.

A vrai dire, ça ne marchait pas vraiment comme ça dans le milieu. Décider au dernier moment d'aller voir un autre "mercenaire" pour demander une tête partait du principe que le premier qui avait été contacté devait être éliminé. Par conséquent, non seulement le ninja menaçait indirectement la vie de Naotaka à nouveau à travers ses paroles, mais en plus il insinuait que le colosse n'était pas le meilleur dans son domaine, qu'il n'était pas capable de se débarrasser de n'importe qui. Il avait tiré sur une corde sensible. Désormais, c'était certain qu'il accepte la mission, peu importe les risques que ça importait et ce malgré sa potentielle réticence.

-Ça ne sera pas nécessaire. Vous avez toqué à la bonne porte ; pas de la bonne manière, mais à la bonne porte.

Rangeant le parchemin dans sa veste, la mine de Naotaka devint plus sérieuse. Ils étaient là pour faire affaire après tout, pour prendre une vie. L'heure n'était plus à la pitrerie. Comme il l'avait démontré plus tôt, le colosse n'appréciait pas vraiment qu'on le roule d'une quelconque manière que ce soit, ou qu'on se moque de son nom. Fixant d'un regard plutôt dur le ninja qui s'était payé sa tête en le plongeant dans une illusion plus tôt, se faisant passer pour une femme à ses yeux, il arborait un air des plus menaçant. L'instant d'après, il apparut à l'autre bout de la pièce, le cou du ninja saisit fermement dans le creux de sa main, la tête fracassée contre le mur quasiment détruit sur le coup.

-Je vais accomplir votre contrat, mais pour l'unique raison que vous avez craché sur mon nom en insinuant que je n'en sois pas capable. Vous m'avez tous les deux menacé de mort, et je devrais vous tuer sur le champ pour ces affronts.
-Si tu fais le moindre mal à mon fils, je t'arracherai ton cœur à mains nues !
-Ne fait pas de promesses que tu ne pourrais pas tenir, vieil homme. Vous n'êtes que deux déchets venus quémander mon aide pour vous débarrasser d'un ninja qui dérange vos idéaux de conquêtes et qui est bien trop puissant pour vous. Votre simple vue me dégoûte et vous mériteriez que je vous exécute sur le champ.
Il lâche son emprise et laisse le ninja s'écrouler au sol, à genoux, quasiment inconscient. Attrapant les quelques affaires personnelles qu'il avait déposé à côté de son lit en entrant dans sa chambre, il commença à quitter les lieux.
-Mais je suis un homme d'honneur, et je tiendrai ma parole.
Malgré les tensions palpables, le deal était signé. Une tête devrait tomber, et ça serait au pays du vent !
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