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 Une bonne ou mauvaise action? (Kan Kishimura)

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Yuurei Sakunie
Genin de Kiri
Yuurei Sakunie
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MessageSujet: Une bonne ou mauvaise action? (Kan Kishimura)   Une bonne ou mauvaise action? (Kan Kishimura) EmptyDim 29 Juin - 4:22






















 ❝Une bonne ou mauvaise action?❞
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.




La kunoichi était ne train de faire ses emplettes habituelles, quand tout à coup, elle avait entendu des cris et du bruit. Sakurya n’aimait pas se mêler de ce qui ne la regardait pas, mais ce jour-là, elle ne laisserait pas quelqu’un dans la merde. Elle demandait au marchand de bien vouloir garder ses sacs, le temps qu’elle vienne en aide à la victime. Elle accourut, en regardant la scène d’un homme, qui se faisait… Régler ses comptes d’un premier regard. Il était pourtant très soigné et ne semblait pas être le genre d’homme à faire affaire avec les voyous. Elle ne se questionnait pas sur le pourquoi il était là, tout simplement, elle allait l’aider. Sakurya demandait gentiment à Sakunie de l’aider pour cette fois, elle serait alors redevable. La démone acceptait donc, avec un immense sourire, de porter son aide. Les yeux rouges, elle s’exclamait.

-Hey! Vous êtes qui bande de connards?! Lâchez-le ou je vous sodomise un après l’autre!
S’exclamait-elle en brandissant son imitation de kubikiri.

Les hommes eurent ce sourire étrange… Ils étaient deux et un vint charger la jeune femme, qui fit un demi-cercle pour repousser cette attaque. Bien sûr que l’adversaire sautait sur l’épée, mais évidemment, il n’était pas le premier à le faire. Elle tirait l’épée vers elle, histoire d’accélérer la proximité de l’ennemi et libérait une main pour planter un kunai dans la gorge, plus précisément, une artère. L’autre mec, fort heureusement, se sauvait. Dans un soupir, elle replaçait son épée et se grattait la tête. Ses yeux redevinrent jaunes.

-Bon bah voilà, sauve-toi avant qu’ils appellent les renforts, j’suis pas haut rang, je pourrais pas venir à bout de tous ses connards. Dit-elle en baillant.

Et puis sa journée finissait ainsi, alors qu’elle allait chercher ses sacs et repartir.

Le lendemain, quelqu’un cognait à sa porte. En sueur, elle ouvrit la porte.

-Quoi? Demandait-elle,
levant un sourcil.

Dans quelle merde elle venait de se foutre encore.

-Avant, je vais prendre une douche et m’habiller convenablement, je te donne de mon temps après
. Dit-elle en claquant la porte, pas contente de se faire déranger pendant ses entraînements.

Puis, elle revint en ouvrant la porte.

-Bon qu’est-ce que j’ai fait?
Demandait-elle, tout simplement avec les mains sur les hanches.



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MessageSujet: Re: Une bonne ou mauvaise action? (Kan Kishimura)   Une bonne ou mauvaise action? (Kan Kishimura) EmptyVen 11 Juil - 0:38


— Bon qu’est-ce que j’ai fait?

Le serviteur s’inclina devant la jeune femme. Se releva. Lui sourit. De ses pupilles noires où se reflétait une douceur infinie. Il parla :

— Nous avons compris par un membre de la famille marchande Miura, que vous avez montrée de l’héroïsme en secourant l’un des nôtres. Votre nom est Yuurei Sakunie? Mes maîtres ont été très enchantés par vos actions. Je suis Mitsumasa. Heureux de vous vous servir ! Vous êtes demandée par les Frères Nishimura.

Il soupira de soulagement. Il continua :

— Il s'avère merveilleux que vous ayez sauvé ce membre illustre de la famille… Mes maîtres voudraient que je vous conduise à leur riche demeure pour vous rencontrer. Seule une shinobi digne de confiance pouvait secourir Gyukudo de vils êtres. Suivez-moi si vous avez le temps. Mes supérieurs vous offriront le couvert, car il est évident pour eux que cette action mérite récompense. Vous pouvez amener ce que vous souhaitez. Par contre, je vous avertis toute de suite : si vous apportez des armes, un de mes maîtres m’a formellement dit que vous seriez congédiée et ne pourriez profiter de la gentillesse des Nishimura. Venez dehors dès que vous le pourrez.

Il laissa quelques instants à la kunoichi. Pendant ce temps, il prépara la calèche dont les planches étaient superbement peintes en bleue et en blanc. Deux chevaux de trait noir et blanc se trouvaient devant. Ils hennirent mollement à l’étreinte du serviteur qui leur caressa le chanfrein.

Lorsque Sakunie s’approcha de l’homme attendri par les bêtes, il déclara avant de monter :

— L’un de mes maîtres apprécie que les créatures soient traitées avec douceur. Aucun animal ne doit être blessé, sinon je serais puni. Chacun dans la demeure doit être respecté. J’espère que vous vous plairez là-bas. Si vous êtes à leur table, c’est qu’ils honorent l’engagement pris par votre personne. Vous pourrez remercier de leurs attentions mes maîtres lorsque vous les rencontrerez.

Après un dernier signe de la main à Sakunie, avec un sourire aimable, les chevaux se mirent en branle. Il secoua les chaines et les galopeurs détalèrent dans Kiri.

Après de nombreuses habitations, ils arrivèrent enfin à une région confinée dans la forêt. Éloignée de toute agitation, ce territoire était réservé aux commodités des maitres du domestique Mitsumasa. Ici vivaient aussi des gens moins fortunés, destinés à servir la lignée illustre par un contrat englobant la plupart des membres des familles paysannes en ces lieux éloignés de la capitale. De nombreuses personnes se trouvaient sur le chemin, se dirigeant vers Kiri avec leurs enfants ou d’autres valets. Humbles, ils saluaient le cocher.

Cela ne leur prit que quelques minutes avant d’arriver à la demeure des Nishimura, les maîtres du simple cocher. Les arbres entourant la domicile étaient touffus et bien entretenus. De nombreuses fleurs parsemaient çà et là le territoire de la maison gigantesque et majestueuse, et qui se propulsait dans le ciel comme une colline humble mais délicieuse. Une haie taillée habilement entourait une clôture grise et éclatante sous le soleil. La calèche s’avançait tranquillement, s’approchant de la barrière gardée par des hommes au regard impassible, après un tournant. Habillés de bleu et de blanc et portant le bandeau de Kiri, ils se tenaient comme deux tours près des portes de deux mètres de long et de plus d’un mètre de haut.

Un rapace blanc, particulièrement audacieux, les regardait en étant immobile sur la haie, fier, se sentant nullement menacé par les humains. Crayeux, il scrutait outrageusement les gens se promenant, comme si rien ne pouvait le faire frémir. Mais ce sont surtout ses yeux qui, tels deux saphirs, fixaient la voiture hippomobile comme un démon concupiscent, s’alléchant les lèvres à l’annonce du péché originel commis par la belle. Pourtant il ne bougeait pas. Il était stoïque, braquait perversement son regard sur la jeune femme.

La calèche passa juste en dessous, vrombissant. Des gens saluèrent l’oiseau, de même que des enfants. Celui-ci tourna la tête vers l’arrière en inspectant les alentours. Puis il secoua son corps argenté, étira ses ailes et s’envola vers la demeure cachée et encerclée par les haies.

La calèche s’arrêta devant la clôture, qui, comme l’ensemble du décor, avait été confectionnée avec soin. Des arabesques illustrant des montagnes et des lacs, de nombreux oiseaux, tout comme le contour énigmatique d’arbres étaient représentés dans les ramifications métalliques. Elles invitaient les visiteurs au calme et à la paix.

— Pouvez-vous ouvrir? demanda le cocher aux deux hommes se tenant devant les grilles.

— C’est la jeune fille dont les maitres ont requis la présence? demanda l’un d’eux.

— Oui, c’est bien elle. Kei l’a mandé ici et elle doit parvenir à la salle de conférence avec tous les honneurs devant lui présenter.

— Je prévoie qu’elle se tiendra tranquille. Le Frère Kan revient d’une mission et il est inamical. J’espère que tu lui as parlé des règles qui doivent être estimées ici chez les Nishimura, humble cocher? Le Frère n’apprécierait pas qu’un tel oubli soit fait avant d’entrer en cette demeure.

— Un unique manquement peut avoir de fâcheuses conséquences sur l’esprit, tel que nous l’a enseigné le Seigneur. Aucun être ne doit franchir ces clôtures sans connaitre les manières obligatoires à la préservation du patrimoine Nishimura. Jeune fille, dit l'autre soldat en se tournant aimablement vers la Sakunie, nous ne pouvons vous laisser entrer sans que vous sachiez certains commandements si importants aux yeux des Frères Nishimura. Ne t’inquiète pas, cocher. La Sentinelle nous a informées partiellement des raisons poussant le maître à inviter cette demoiselle entre les murs des Nishimura. Il a tenu bon à nous renseigner à ce sujet et nous faire comprendre que vous, madame, avez secouru un membre de la famille Miura, et qu’à ce titre, vous seriez reçu comme nulle autre. Kei a annulé une rencontre chère à ses yeux pour vous témoigner sa gratitude.

— L’oiseau que vous avez aperçu est l’avatar d’un des frères, dit le second soldat. Probablement du plus taciturne. Kan est son nom. Il voulait savoir si vous seriez quelqu’un qu’il pût connaitre. Il semble que non, car il n’a pas refusé votre venue. J’espère que vous apprécierez votre visite et que les Frères Nishimura récompenseront somptueusement vos efforts destinés à protéger le Pays de l’Eau.

Le cocher acquiesça. Il demanda :

— Est-ce Kei qui a sollicité cette présentation?

— Il a exigé de nous, respectés soldats, d’expliquer la venue de chacun, lorsque celui-ci est un invité de marque dont la présence a été recommandée par les Deux Frères, et c’est le cas aujourd’hui, dit le premier ninja.

— Bon… madame, si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous pouvez demander à Kei, qui vous sera présenté, ce que vous souhaitez. Il veut prendre soin de votre confort, mais il tient à ce que les servants soient traités conformément au respect qui leur est dû ; seul un membre des Nishimura peut juger la pertinence d’accaparer un domestiques, car ils sont fort occupés et l’esprit occupé ne doit pas être dérangé.

— La deuxième chose importante que vous savez est que toutes les bêtes de la maison doivent être traitées obligeamment. On n’assaille pas les servants animaux des Frères Nishimura de faires non conformes aux maîtres. Ils ne doivent nullement être considérés inamicalement, adéquatement au respect que leur témoignent les Frères. Ils sont des sujets des Nishimura, pas de simples bêtes.

— Si vous avez une certaine réticence, parlez à Kei. S’il trouve pertinent de vous informer d’autres règles, il vous renseignera à ce sujet. Et n’ayez crainte, comme il le dit si souvent : « Il ne mange pas. » Permettez-lui de rendre votre visite aussi confortable que possible.

Le soldat bougea. Il déverrouilla les grilles pour laisser passer la calèche et le cocher, de même que Sakunie.

À l’ouverture des barricades, la somptueuse demeure se révéla avec tous ses atouts. Des fleurs de toute sorte végétaient sur le territoire, étroitement encadrées par de multiples lilliputiennes haies, des rochers placés çà et là au garde-à-vous, des statuts d’animaux montrant les crocs, les serres ou bien les bois en dessous un ciel affable.

Ils se dirigèrent vers la maison. Celle-ci avait un grand escalier menant à une gigantesque porte. De nombreuses plantes d’un brun pâle garnissaient des pots sur les côtés, lançant leurs feuilles sous la voute artificielle comme des petits parasols. On pouvait apercevoir de là où se trouvait présentement la calèche, qui avançait doucement vers la Demeure Nishimura, les somptueuses gravures et les fenêtres finement taillées symbolisaient la nature. Ce sont surtout les panthères et les harfangs qui étaient représentés sur ces chefs d’œuvres d’harmonie. D’autres animaux comme des poissons figuraient sur ces cadres vitrés.

Ils s’introduisirent. Le hall d’entrée était gigantesque. Le plafond était à plusieurs mètres au-dessus de la tête des visiteurs. Un escalier permettait de se rendre au deuxième étage, où attendaient deux ouvertures, une à gauche, une à droite. Une porte tout en longueur se tenait entre elles deux. D'autres accès étaient aussi présents au rez-de-chaussée. On pouvait apercevoir deux de chaque côté, séparées par un ou deux mètres au minimum. Les marches étaient d’un blanc étincelant, alors que le sol se couvrait de planches brun très pâle. Des peintures se trouvaient à bien des endroits. La plupart étaient figuratives, représentant Kiri sous tous ses angles, du plus grand monument ancestral jusqu’à la plus petite et fière maisonnée ancienne, faisant remémorer au contemplateur une époque lointaine où la passion d’œuvrer pour le bien commun surpassait les exhortations égoïstes de quelques-uns pour parvenir à une prospérité individuelle. Sobre et harmonieux, l’immobilier qui se trouvait dans cet espace aéré était de cuir. Un fauteuil était appuyé sur l’escalier. Deux servants lavaient présentement les barreaux, concentrés à leurs tâches, habillés d’un tablier bleu et de dessous blanc.

— Vous êtes ici chez les Nishimura, dit le cocher. J’espère que vous vous plairez dans la Demeure Nishimura. Montez avec moi.

Ils ascensionnèrent les escaliers et ensuite, Mitsumura toqua à la porte. Une voix profonde et calme répondit :

— Venez Mitsumasa ! On vous attendait !

Le servant ouvrit la pièce en bois. La lumière, jusque-là ténue, irradiait le plancher Une salle longue d’une quinzaine de mètres sur sept mètres se trouvait devant les yeux du cocher et de Sakunie. Malgré la grandeur de la pièce, la sobriété des lieux ferait frémir n’importe quelle âme nullement prête à une telle magnificence. Des fauteuils de cuir se tenaient à l’autre bout. Mais ce sont surtout les nombreuses fenêtres aux motifs naturels et multicolores qui chamarraient l'espace de teintes de vert, de bleu et de violet qui sustentaient les yeux. Des figures de volatiles reflétés sur le plancher, s’envolant comme des millions de lucioles rendaient la salle de conférence semblable à une pierre précieuse. D’autres couleurs comme le rouge et le jaune se trouvaient en ces hauts lieux, mais elles étaient destinées aux nombreuses petites fleurs dessinées sur les vitraux.

À l’opposé surélevé par trois marches de la pièce, un homme se tenait sur un fauteuil, le dos droit. L’air frêle, il portait veston brun et cravate blanche et avait le regard affuté. Visage légèrement rond, il semblait sortir immédiatement de l’adolescence, au vu de l’innocence qui se reflétait dans ses yeux. Splendide, une certaine fragilité se ressentait dans le personnage, tout comme une profonde amabilité.

— Sakunie, vous voici. J’espère que notre cher Mitsumasa ne vous aura pas apporté trop de préjudices. Nous serions navrés que vous soyez amenés à détester les Nishimura pour des erreurs évitables que nous aurions commises. Merci encore de votre appui pour avoir aidé Gyukudo, notre cousin à moi et à mon frère.

Il se leva de son siège et parcourut les nombreux mètres le séparant de Sakunie. Il présenta sa main à la jeune femme pour qu'elle puisse la serrer.

— Je suis Kei Nishimura. Mon frère Kan se trouve juste là, dit Kei en montrant un homme qui se tenait à la droite, accoté sur le mur dans un des coins sombres de la pièce. Je vous ai mandé pour vous remercier personnellement de votre appui aux Miura et aux Nishimura.

— Que fais-je, maître Kei? demanda Mitsumasa.

— Venez, si vous n’avez rien d’important de prévu. Cette charmante dame aura besoin d’aide à tout moment pour sa visite chez la famille Nishimura.

— Je n’avais rien à mon horaire, maître Kei. J’épaulerai si cela est votre demande.

— Merci Mitsumasa ! Comment avez-vous trouvé le voyage, chère Sakunie? Vous êtes kunoichi? J’étais moi-même ninja à une époque et ai prouvé un certain talent à de nombreuses reprises. Mon frère Kan est shinobi et il est considéré comme un industrieux stratège par l’ensemble de ses hommes. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, osez le demander.


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