Présentation de

Sabaku no Gaara

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : Sabaku no Prénom : Gaara Village : Suna Date de naissance : 19 janvier Lieu de Naissance : Suna - Quartier du Kazekage Age : 16 ans Rang et niveau souhaité : Jônin Supérieur Nindo : Ne vivre que pour soi, ne se battre que pour soi.

Feat. Sabaku no Gaara

Anecdotes sur le personnage

En vrac ~

- Dès sa naissance, Gaara semble être destiné à la souffrance : afin de rendre à Suna sa grandeur d’autrefois, le Yondaime Kazekage décide de faire de son cadet le Jinchuuriki du Shukaku. Son dernier fils serait ainsi l’arme ultime de Suna. Malheureusement, pour réaliser cela, il est obligé de sacrifier sa propre femme, qui ne pût survivre à l’accouchement et au scellement du démon.

- Dès qu’il fut en âge de parler et de marcher, Gaara fut entrainé au ninjutsu par son propre père. En dehors de ses entrainements quotidiens, l’enfant n’a presque aucune relation avec son géniteur, ni même avec ses frères et sœurs ainés.

- C’est son oncle, Yashamaru, qui s’occupe de lui pendant ces années. Ninja médecin il éduque l’enfant et tente de lui apporter l’amour dont il a besoin, lui qui souffre de la mort de sa mère, Karura.

- En grandissant, Gaara devient de plus en plus instable psychologiquement. Shukaku le rend peu à peu insomniaque, ce qui provoque des troubles de la personnalité chez l’enfant. Par ailleurs, il souffre du regard des autres et de la solitude, deux choses de plus en plus insupportables pour lui. Dans cet océan de haine et de douleur, seul Yashamaru lui apporte du réconfort.

- A six ans, alors qu’il tente de se faire pardonner d’enfants qu’il a blessé par accident, un homme l’attaque pour l’assassiner. Pris de colère, Gaara le tue. Le Yondaime Kazekage et les conseillers de Suna décident, après un conseil exceptionnel, de considérer Gaara comme un échec en tant que Jinchuuriki. Il doit être tué.

- Le soir même, alors que l’enfant médite sur le toit d’un immeuble, un homme masqué s’en prend à lui. Il l’attaque et l’enfant riposte, blessant mortellement son assaillant. Il découvre alors, mortifié, que son agresseur n’est autre que Yashamaru, la seule personne qui semblait le considérer comme un être humain. Son oncle lui explique alors qu’il l’a toujours haït pour avoir causé la mort de sa sœur et qu’il n’a jamais été considéré que comme une arme, aussi bien par le village que par sa mère, qui espérait que son fils finirait par se retourner contre sa patrie. Après ces révélations, sous le choc et en sanglot, l’enfant utilise son sable pour se tatouer le Kanji « Amour » sur le visage, utilisant son propre sang en guise d’encre. Il décide alors de changer du tout au tout pour ne plus souffrir : enfermant sa tristesse au fond de lui, son choix est de ne plus vivre que pour lui, ses plaisirs et ses envies.

- Exténué psychologiquement et physiquement, Gaara finit par s’endormir, chose qu’il n’avait plus faite depuis des années. Le Shukaku se libère en plein cœur du village et le Yondaime Kazekage est forcé de le combattre. Plusieurs quartiers de Suna son détruit, mais la bête finie par être contenue. Suite à cette perte de contrôle, l’ensemble des autorités du village est unanime sur le destin de Gaara. Néanmoins, constamment protégé par le sable et ce indépendamment de sa volonté, il convient de constater que le tuer ne sera pas facile.

- A partir de cette nuit, Gaara essuie pendant des années durant des tentatives d’assassinats plus ou moins déclarées : des affronts directs le plus souvent, mais aussi des missions bien trop périlleuses pour un enfant de son âge : à douze ans, il compte déjà plusieurs missions de rang A et S à son actif, toutes réalisées sans le moindre problème. A chaque fois, au dépit des gouvernants du village, il est revenu sans la moindre égratignure. Si beaucoup le considèrent comme un psychopathe, ils sont également forcés de constater que sa maîtrise des pouvoirs du Bijuu est au-delà de toutes les espérances imaginables.

- Durant l’examen Chunin organisé à Konoha, Gaara brille une nouvelle fois et apparait comme l’un des meilleurs shinobi de sa génération, si ce n’est le meilleur. Il est toutefois blessé, pour la première fois depuis très longtemps. Mais surtout, il se trouve une proie : Sasuke Uchiha. Malheureusement, son parcours en combat à l’examen ne lui permet pas de croiser la route du Uchiha. A la fin de ce tournoi, il obtient le titre de Chunin, tout comme son frère et sa sœur, avec qui il formait une équipe.

- Après avoir obtenu son diplôme, Gaara, sa sœur et son frère continuent les missions ensembles. Petit à petit, les tentatives d’assassinat de la part du Kazekage cessent : il semble avoir compris que, même s’il s’en prenait directement à son fils, il ne serait pas sûrd’en sortir vainqueur. Après plusieurs débats houleux, il parvient à faire changer les conseillers d’avis sur le destin de son fils : ce dernier peut vivre, mais doit pour cela changer radicalement de comportement. Telles sont leurs exigences.

- Malheureusement, malgré plusieurs discussions avec son père, Gaara n’écoute rien ni personne. Il ne fait qu’obéir à ses propres pulsions et ne semblent plus craindre personne. En tant que shinobi, il est de plus en plus accompli : deux ans après l’obtention de son diplôme de Chunin, il est promu Jônin. Afin d’éviter une situation délicate, le Kazekage décide néanmoins de ne pas lui attribuer d’équipe de Genin à charge.

- Actuellement, la situation de Gaara n’a pas changé. Il reste isolé et ne semble écouter personne, provoquant plusieurs fois par an d’importantes crises dans le village. Les habitants ne semblent plus pouvoir le supporter, tout comme lui a de plus en plus de mal à supporter la présence d’autrui. Il s’est toutefois fixé un nouvel objectif : parvenir à maîtriser le démon qui est en lui afin de mettre fin à ces douloureuses années d’insomnies qui n’en finissent pas…

Description psychologique du personnage

Description détaillée

Il est aisé de se méprendre sur la psychologie de Gaara. Car je pourrai simplement vous dire qu’il est le profil-type du sociopathe. Que c’est sans doute cela qui le caractérise en premier lieu. Qu’il n’aime pas les autres, qu’il n’aime pas leur compagnie et qu’il n’aime pas avoir à leur parler. Que les mots amis ou famille sont vides de sens de son point de vue : qui que vous soyez, il ne voit en vous qu’une personne pouvant lui offrir le plaisir de la mort, le plaisir de tuer. Néanmoins, ne sombrons pas dans la simplicité : car si c’était comme cela que je décidais de dresser son portrait, c’est exactement de quoi il s’agirait. Non, Gaara n’est pas atteint d’une quelconque  pathologie mentale – en dehors de l’insomnie bien sûr – qui le pousse à vouloir tuer ceux qui l’entourent. Non au contraire, ce comportement est la résultante d’une logique quasiment mathématique qui a régit son existence. Une équation en somme, basé sur ces termes : « ce que j’ai subi fait de moi ce que je suis ». Or son histoire, les malheurs qu’il a traversés, étaient monstrueux : c’est donc tout logiquement qu’il est devenu un monstre. Aussi, Gaara ne peut être considéré comme une miséricorde pour Suna, un malheur qui lui serait tombé dessus, par hasard. Il est le fruit, pourri, de ce village – sa punition, amplement méritée.

En tant que monstre néanmoins, la psychologie du personnage est relativement simple, bien que particulièrement odieuse. Le cadet du Kazekage n’est pas le genre de méchant à croire en des idéaux, à se battre pour eux, à avoir un objectif à atteindre, une utopie, aussi dangereuse soit-elle. Non, c’est un meurtrier assoiffé de sang prêt à tout pour assouvir ses pulsions. Voici ce que Garra aime par-dessus tout : prendre la vie des autres. C’est lorsqu’il fait cela qu’il ressent, au plus profond de lui, la jouissance de la vie. Est-ce là de la folie ? Pour n’importe quelle société civilisée, un tel personnage est forcément considéré comme un fou, effectivement. Car il ne vit que pour faire le mal autour de lui, et par conséquent, aucune communauté humaine ne peut décemment l’accepter en son sein. Mais après tout, c’est une de ces sociétés civilisées qui l’a rendu comme cela.

L’autre principale chose qui marque la personnalité du jeune homme, c’est sans aucun doute sa relation ambigüe, difficile même, avec le Shukaku, son démon à queue vivant en lui. En effet, traditionnellement, les anciens savent que le Ichibi est un démon à fort caractère qu’il est très difficile pour son Jinchuuriki de maîtriser. Et cela est aussi dû au fait que, profitant du sommeil de son hôte, il parvient à prendre le dessus et à se déchaîner. Posséder le Shukaku, c’est donc forcément devenir insomniaque, sous peine de devenir un monstre de chakra et de puissance. Et cette insomnie provoque forcément une déformation de la réalité, un difficile raccordement au monde : c’est là un symptôme tout ce qu’il y a de plus banal de l’insomnie. Ajoutez à cela une once de haine des autres envers vous et quelques mauvais coups et, vous verrez, vous aussi, saints d’esprits que vous êtes, deviendrez un peu barrés. Et quand on possède la puissance de Gaara, alors ce grain de folie se transforme en un danger d’une importance considérable.

Pour autant, au-delà de ces éléments qui dominent la majeure partie des relations du jeune homme avec autrui, Gaara est un garçon relativement intelligent et qui comprend vite. Les différentes épreuves qu’il a subit par le passé l’ont rendu très dur et froid, mais malgré cela, quand l’on sait où frapper, il peut aussi être très faible psychologiquement parlant. En outre, il ne supporte pas la défaite, à tel point que, dès qu’on parvient à lui résister ou lui échapper, il entre dans une sorte de transe où il devient prêt à tout pour assouvir ses pulsions de meurtre. Ainsi, si sa puissance est sa principale force, il semble qu'elle soit aussi sa plus grande faiblesse.

Test rp

Test rp

Deshi Basara - Hans Zimmer

Les vents soufflaient continuellement. De jour comme de nuit, ils emportaient avec eux grains de sables et larmes enfantines. Dans l’aride désert de ce pays de bourrasques, il ne faisait pas bon danser au milieu des grains : on n’y perdait souvent bien plus que le bonheur que cela pouvait procurer. Au milieu de cette terre sèche logeait un village, encadré de larges et importants remparts de pierres. Ce dernier restait debout, au milieu des tempêtes et autres cataclysmes de la nature. Rien ne semblait pouvoir atténuer sa fierté, rien ne pouvait lui faire courber l’échine. Du moins, en apparence. Car en son sein, de terribles luttes intestines déchiraient les habitants. Combats de pouvoirs, de choix politiques, de directions à prendre. Et au milieu de toute cette anarchie organisée, des cris. Immenses hurlements brisants la cohue incessante qui tentait d’orienter le village. Le chef, lui, ne pouvait plus rien faire d’autre que s’intéresser à ces éclats de voix stridents. Quand ils s’arrêtèrent et que tout fut terminé, que le silence et le calme revenaient, le véritable tourment commençait. « Adieu, Karura ». Et pendant que la mort l’emporte, que la fatigue l’accable jusqu’à en finir, c’est sa douce progéniture qui est détruite, par son propre père. Non, tu ne pourras pas le protéger. Non, tu ne seras pas là. Non, il ne sera pas un enfant dorloté et câliné, Non, jamais. Plus jamais. Il ne fallait pas le laisser, mère indigne et égoïste, qui l’a abandonné. Il la paiera toute sa vie, ma chère, votre lâcheté.

« Son nom sera Gaara. Le démon qui n’aime que lui. » Karura

Les pleines lunes s’enchainaient. L’enfant grandissait, peu à peu. Mais il n’était pas comme il faut. Son développement commençait à dévier, se dénaturer. La perte de sa mère, l’absence de repères, de point de chute vers lequel se diriger, le perturbait. Après seulement quelques années, le fiasco était déjà en vue. Les anciens mettaient la pression : il était temps d’agir, de recadrer l’enfant avant qu’il ne soit trop tard. Le père, qu’il n’avait jamais véritablement été devait définitivement abandonner tout lien : il était temps pour lui de tester son propre enfant, de savoir de quel métal il était fait. Tout ça du haut de ses six printemps.

« J’ai tout le temps mal ici »

Mission secrète. « Tu dois le tester, Yashamaru ». Ces quelques mots résument toute la situation, toute sa gravité. Le chef avait été très clair : cet enfant n’était pas le sien. Ce n’était qu’une chose, une arme, dont la destinée ne devait être autre que de renforcer la puissance militaire des siens. Face au déclin, la puissance. Seule et unique moyen de le contrer, aucune autre façon ne pouvait fonctionner. Alors les engrenages se mirent en marche : rapprochement, exacerbation des sentiments, puis leur destruction. Il avait suffi d’appuyer sur les cordes sensibles : l’amour de sa mère n’était qu’usurpation. Jamais personne ne l’avait aimé et ne l’aimera. Personne ne se liera à lui. Il était mort, fini. Face à cela, à la tentative d’assassinat de l’envoyé du Kazekage, son propre père. La seule personne qui s’intéressait à lui, elle qui avait connu sa mère, qui pouvait lui apprendre des choses sur elle, qui semblait vouloir l’aider à se développer, à guérir les incroyables plaies qui jonchaient son cœur. Cette personne avait été employée pour le tuer. Plongé dans les ténèbres, l’enfant découvre chez elle cette chose qui lui faisait horreur sur tous les autres visages humains : la peur. Cet effroi insupportable face à lui, rapidement jumelé à une haine incompréhensible. Soit. Le monde voulait faire de lui quelqu’un de seul, replié sur lui-même, un monstre d’égo, incapable d’empathie, de compréhension, d’échange ou d’altruisme. Alors, il fit un choix. Il serait cela. Il ne servirait que ses propres passions, quitte à tuer pour les assouvir. Il serait bercé, toute sa vie, par la froideur et la noirceur aveuglante et apaisante des ténèbres. Il plongerait dans l’obscurité et y fermerait les yeux, pour s’accroupir en position fœtale et attendre. Et finalement, tout doucement, s’endormir. En attendant de pouvoir retrouver sa défunte mère pour se plonger dans ses bras.

Le cri de l’enfant raisonne. Il exulte, hurle à n’en plus finir. Le village entier pourrait être réveillé par lui. Car ce cri n’a plus rien d’humain. La peine est si grande que la voix mute, se transforme : c’est toute la tragédie des hommes qu’elle représente. Et toute cette désolation ne peut être supportée par un enfant. Par la tristesse et les pleurs, il se transforme. Son corps grandit, sa peau disparait, laissant place à d’étranges écailles sableuses. Tout ce désespoir se transforme peu à peu en colère puis en haine. L’enfant était alors en guerre contre tous, en lutte avec le monde. Il allait se venger, se lancer dans une destruction de toute chose. Un immense grondement se fit entendre, venant de l’horizon ténébreux. Et quelques secondes plus tard, c’était une gigantesque vague de sable qui se dirigeait droit sur le village.

Une seconde vague, brillante celle-là, percuta la première, l’annihilant totalement. Et c’était une incroyable lutte qui s’engageait, entre un monstre rendu fou et son créateur. Une bataille titanesque au sein d’un village qu’il fallait s’efforcer de protéger… Du moins pour le chef. La désolation le frappa, plusieurs bâtiments furent tout simplement rasés avant que le calme ne revienne. Il n’y avait aucun détour possible. Il fallait épuiser la bête, jusqu’à ce que le calme dans l’esprit de l’enfant ne revienne. Finalement, il était bel et bien un échec. Pire que cela même. Il devenait un terrible fardeau dont il était impossible de se débarrasser.

Vous n’imaginez pas ce que cela pouvait être de vivre dans une cité terrorisée par un simple gamin de moins de dix ans. Ce n’était pas seulement le monstre qui dormait en lui, loin de là. Il y avait pire que cela : ses yeux. Son regard n’était pas celui d’un enfant, mais plutôt du monstre qui sommeillait en lui : un regard de tueur sadique et fou, n’ayant pas la moindre once de respect pour la vie. Parents, famille, amis… Toutes ces choses n’avaient plus le moindre sens pour ce démon. Ses yeux laissaient entrevoir à chaque instant qu’il ne voulait qu’une chose : vous faire goûter à la souffrance. Pourquoi ? C’était pourtant évident. Un adage disait « Ce que j’ai subi fait de moi ce que je suis. ». Dans le cas de Gaara, c’était plus que vrai. Les choses monstrueuses qu’on lui avait infligées l’avaient transformé en monstre. Et même si tout le monde en avait peur et le maudissait, personne n’ignorait les raisons de ce déséquilibre. On l’avait bien cherché, après tout.

« Sabaku Kyuu ! »

Ces deux mots suffisaient à glacer le sang d’un village entier. Ils étaient sa signature, sa marque. Chaque fois qu’il tuait pour se divertir, il les employait. Et alors, la victime était plongée dans un long calvaire : prisonnière du sable, totalement incapable de bouger, l’enfant faisait entrer du sable dans ses voies respiratoires, doucement, jusqu’à l’étouffement. Ou alors, pour les plus chanceux, il décidait d’en finir plus vite et les tuait sur le coup, mettant une pression telle sur le corps prisonnier qu’il explosait de toute part. « Une pluie de sang » qu’il aimait appeler cela. Quelle malédiction : la seule pluie qui tombait sur ce village désertique était uniquement composée d’hémoglobine. Le sort s’acharnait.

Face à cette situation, le chef du village ne pouvait rester sans rien faire : il devait agir pour pacifier la situation. Du moins, il essayait. Car la solution qui était envisageable n’était pas des plus simples à réaliser : il devait tuer son fils. Ou plutôt, faire tuer son fils. Car en tant que chef, réaliser un infanticide était tout sauf envisageable, bien-entendu. Il devait assumer ses erreurs et trouver un moyen. Mais il avait beau tout essayer, rien ne fonctionnait : on l’envoyait à la mort dans des missions extrêmement périlleuses, c’était le seul de son équipe à revenir. On lançait des Anbu à sa poursuite : il les tuait sans effort. Rien. Il n’y avait rien à faire. Et la situation semblait ne pouvoir jamais s’arranger. Le Yondaime paierait-il sa méprise jusqu’à la fin de sa vie ? Tout semblait indiquer que oui.

Jinchuuriki de Shukaku (Ichibi)

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Quentin - Lelouch
Comment avez vous découvert le forum ? Naruto VS Sasuke - Top 100
Vos projets sur le forum : Soyons original... RP ?
Votre avis sur le forum ? Bien, mais un design plus actuel ne serait pas de refus.
Votre présence sur le forum ? Chaotique durant l'été (boulot par-ci, sorties par-là... Pas facile la vie d'étudiant).
Avez-vous lu tous les règlements ? Pas entièrement, c'est en cours.

Bienvenue,

Premièrement, je ne pense pas que l'avatar soit adapté à Gaara x) Il est sous sa forme enfant dessus. Ce serait cool d'en mettre un plus actuel xD

Cela dit, la qualité de la présentation me convient parfaitement. Ton style s'accorde très bien à la personnalité du personnage et tes textes sont agréables à lire. Tu fais aussi peu de fautes. Dès la première lecture, j'ai compris tes idées ainsi que le sens propre de tes phrases. Bref, tu possèdes une plume soignée et celle-ci vaut amplement le rôle que tu tentes d'obtenir.

La partie sur les anecdotes est également satisfaisante, même si j'aurai bien aimé que tu fasses un petit clin d’œil à ce Rock Lee; le malheureux que ton personnage a joyeusement massacré pendant l'examen chuunin xD M'enfin, les gros passages importants de la vie de Gaara sont relatés correctement. Je n'ai pas vu d'incohérences ou de choses louches. Tout me semble être à ton avantage.

Pour finir, ta description psychologique et ton test rp sont suffisants, je crois. Tu arrives très bien à cerner le mental du p'tit démon, sans que cela devienne répétitif ou lourd, tout à réussissant à l'intégrer d'une façon efficace à ton rp. Comme dit plus haut, je n'ai rien à redire sur la qualité globale =p

Finalement, je pense que tu pourrais avoir le niveau pour incarner le personnage. Puis, cette présentation possède amplement la plastique d'un personnage de rang S. Je dirais lvl 45, mais tout dépend du second avis, si celui-ci est d'accord ou non avec ce jugement ^^

Bienvenue sur kokoro,

Comme l'a dit Nëssa, tu as réussi à cerner parfaitement ce protagoniste et je te félicite car ce n'est pas forcément aisé.
Ton style d'écriture est épuré et tu fais peu de fautes, ce qui rend ta fiche vraiment fluide et plaisante à lire.

Le level 45 me semble idéal pour l'évolution du personnage. Tu peux désormais faire ta fiche technique, au plaisir de te rencontrer in RP.

N.B : Au niveau du design, il me semble que c'est en cours.