Présentation de  

Kaito Heiwajima

VOILA QUI JE SUIS DANS CE NOUVEAU MONDE

Nom : Heiwajima Prénom : Kaito Village : OtoGakure no Sato Date de naissance : 4 Juillet Lieu de Naissance : Quelque part dans le Pays des Rizières Age : Vingt-sept ans Rang et niveau souhaité : Grand Élite S - Niveau : Celui que je mérite ( C'est ce que je souhaiterai, mais il est clair que je prendrai le Rang/Niveau que vous me donnerez ) Nindo : " Même si je déteste cet enfoiré de lézard à deux pattes, je lui en doit bien une. J'ai une dette envers Orochimaru, mon but est de l'accomplir. "

Feat. Badou Nails (C) Copyright - DOGS: Bullets & Carnage

Anecdotes sur le personnage

En vrac ~

- Il naquit dans la famille Heiwajima, dans le pays des Rizières. À sa naissance, ses parents lui donnèrent le nom de Kaito, signifiant « la réponse » en japonais. Il est le premier fils de ses géniteurs.

- Heiwajima est une famille qui a vu des générations et des générations passer. Elle n'est pas bien grande et reconnue internationalement, mais durant toute son existence elle a été d'une très grande utilité et d'une protection ultime pour le petit village où les Heiwajima se développaient.

- Généralement un nom c’est un nom que les parents ont choisis comme ça, parce qu’ils trouvaient cela beau et harmonieux. Les producteurs de Kaito lui donnèrent ce nom, non pas parce qu’ils ont voulu trouver un prénom qui n’est pas habituel, mais tout simplement parce que ça été la réponse à leur question. « Qui devra tenir le trône de la famille quand la nouvelle génération apparaîtra ?   ». Le rouquin fut la réponse, vu qu’il est l’héritier d’une seule et unique lignée.

- En effet, chez les Heiwajima il n’y a qu’une seule lignée. Tous les Heiwajima existant ont un lien de parenté, oncle, cousin, père, mère, grand-père etc. Quand je vous dis que c’est une petite famille.

- Ce « clan » se démarque des autres grâce à leur capacité au combat rapproché, ils maîtrisent tous le Taijutsu a un haut point. L'art du Goken n'a aucun secret pour eux. Ils en ont fait une multitude de dérivés. Inventant un amas de jutsus grâce aux bases du Goken. La plus connu de leur tactique est la combinaison de ce style de combat rapproché, combiné à leur maîtrise du vent. Parce que n'importe quel Heiwajima qui fera le teste de chakra sur le papier, verra ce dernier se couper en deux.

- Deux ans après la naissance du rouquin, pas au jour près, naquit un autre petit Heiwajima. Un frère pour notre héros qu'il adora très vite. Ce n'est pas facile d'établir un bon lien entre frères, heureusement il n'eu pas ce problème pour les deux, qui s'entendirent très bien.

- Les premières années sur terres furent simples et paisibles. Quelques entraînements du paternel à ses deux enfants quand ils en ont le temps, une condition de vie meilleure que la norme, de l'amour par-ci et par là, des jouets aux quatre coins de la maison. Bref, c'était un gosse, rien de plus normal pour un gamin que de se faire gâter durant toute cette partie de la vie.

- Les ans continuaient et les deux grandissaient à la vitesse de l’éclair. Que ce soit des bêtises ou des entraînements. Des jeux ou des promenades. Les frères faisaient tout ensemble. Ils étaient tellement inséparables qu’à l’âge de onze ( Kaito ) et neuf ( son frère ) ans, leurs parents les inscrivirent à l’académie.

- On remarqua très vite leur compétence à tenir bien plus longtemps que les autres en éducation physique, c'était comme si leur père leur avaient déjà tout appris sur le Taijutsu à un niveau académique. Malheureusement il fallait franchir un autre palier, celui du Genjutsu. Et là, c'était la partie des cours qu'ils détestaient le plus. Comprendre l'art des illusions était une mission impossible. Et c'est ce qu'ils redoutaient le plus avant leur passage de l'examen final. Grâce à ses deux ans de plus, Kaito réussit à passer Gennin en un an d'académie. Alors que son frère échoua la phase de Genjutsu et dû refaire une deuxième année.

- Ce fut la fin du duo Heiwajima. Sans plus attendre, notre héros fut assigné à une équipe du petit village. Leurs missions n’étaient pas bien dangereuses et la progression était minime. Faut dire qui fallait s’y attendre un minimum. Rares sont les enseignants compètent dans ce petit patelin.  

- L'année passa, lentement, mais elle passa. Entre les entraînements à domicile, ceux avec l'équipe, les missions de bas niveau, mais les missions quand même effectuées. Faut dire ce qui est, Kaito se faisait chier. Ses compagnons ne suivaient pas le rythme et son frère lui manquait en combat. Quand ce dernier passa finalement l'académie et qu'il reçut son bandeau frontal, sans plus attendre l'ainé fit une demande plutôt spéciale, mais qui fut accepté par les seigneurs du village. Requête : Changer d'équipe pour se retrouver avec son frère.

- C’est sans étonnement que le duo fut vite reconnu par le village. Enchaînant missions, toutes plus dures les unes que les autres. Il n’avait que 13 ans et l’autre en avait 11. Pourtant, ils présentaient déjà l’avenir du village. Combinant tactique et jutsus appris par leurs parents. Ils étaient l'une des rares lueurs d’espoirs du village.

- Les deux passèrent Chuunin la même année. Tout allait pour le mieux, mais à l’époque, la même année où les deux frères augmentèrent de grade, fut la même époque où un mystérieux village aux allures plus que prometteuse fit son apparition. OtoGakure no Sato, mené à la baguette par un vil serpent, portant le nom d’Orochimaru.  

- Oto fait le tour du monde pour recruter le plus de ninjas possible. Le pays des Rizières allait pouvoir se battre pour défendre ses causes, cultures, philosophie, son économie... Et bien plus encore.

-La progression de notre protagoniste ne fait qu’augmenter, pourtant les gens autour de lui ressentent une baisse de motivation. Heureusement, son frère fut d’une grande aide pour le développement du ninja.  

- Quatre ans passèrent, quatre ans qui servirent aux deux de passer à l’élite du village et surtout à développer le caractère des deux hommes. La différence entre les deux était flagrante. Nous avons d'un côté un rouquin flemmard qui ne cesse pas de faire un tas de conneries et de l'autre, un homme qui malgré son jeune âge, pris beaucoup de maturité en ayant forgé un mental d'acier. C'est très vite que les membres de la famille se remirent en question quant au successeur du « trône ». La grosse majorité pensait avoir fait une erreur en ayant prédit cet honneur à Kaito, pensant que le bon choix devrait être Genjiro, son frère. Le paradoxe étant, que dans la minorité pensant que le rouquin est le ninja qu'il faut. Ne se trouve qu'un seul homme. Le frère de ce dernier. Notre héros préféré devait porter ce lourd fardeau et pourtant, même si ce n’est pas l’envie qui lui manquait, Genjiro était la seule personne à croire en son grand-frère.

- Dans cette même année, alors âgé ; l’un de dix-sept ans et l’autre de quinze ans. Les deux enfants Heiwajima partirent en mission de catégorie  A. Cette dernière consistait à la récolte d’informations sur une petite base repérée non loin du village.

- Malheureusement, cette mission ne se passa pas comme prévu et durant le courant de celle-ci. Alors qu'ils devaient être le plus discret possible, les deux frères furent repérés et c'est sans attendre trop longtemps qu'ils finirent vite dans la merde. Les Heiwajima donnèrent tout ce qu'ils avaient, jusqu'à ce que le petit de quinze ans vit une lame se planter dans son ventre et ressortir de l'autre côté. Ses derniers mots furent envers Kaito, le soutenant pour le futur, affirmant qu'il devait persister pour devenir le prochain leader. Le rouquin évacua toute sa rage et débloqua pour la première fois la septième des huit portes célestes. Malheureusement, l'ennemi était trop nombreux et le juunin y perdit son oeil droit. C'est alors que, voyant venir le dernier coup qui signait sa mort, apparu comme par magie, un homme aux allures mystérieuses ressemblant à un serpent. Orochimaru venait d’arriver pour secourir l’homme proche de la mort.

- Le massacre terminé, le vil serpent se retourna vers Kaito et lui proposa de rejoindre ses troupes. Il semblerait que le chef d’Oto se serait intéressé aux pouvoirs des Heiwajima et voudrait en avoir un dans son armée. Encore sous le choc de ce qui venait de se passer, le rouquin aux cheveux longs y répondit négativement. Orochimaru n’insista pas et partit loin, laissant un sourire, comme s’il s’attendait à la réponse.

- Trouvant la force dans ses dernières ressources et après avoir pleuré toutes les larmes de son corps pendant des heures et des heures. Kaito retourna au village avec le corps de son frère qu’il dévoila à son entourage proche.

- Suite à cela, c’est le drame et trois mois passèrent où le froid était intense chez les Heiwajima. Notre protagoniste n’effectuait plus aucune mission depuis la mort de son petit-frère et se questionna à propos que de rejoindre les guerriers d’Oto. S’il était encore en vie, c’était grâce au serpent qui l’a sauvé. Il lui en devait une.

- Il commença les cigarettes, sous prétexte que c'était le seul moyen pour qu’il retrouve la motivation que lui donnait son frère. Fumer, fumer, fumer et encore fumer.

- Finalement, un jour de pluie, sans annoncer à qui que ce soit. Kaito partit du village. Il laissa une lettre à ses parents, disant qu’il devait partit en mission d’importance capital en solitaire, expliquant qu’il avait une dette à régler et que la date de son retour était inconnue.

- La chance était avec lui cette fois-ci, seulement après trois semaines de route et de survie qu’il retrouva le dirigeant d’OtoGakure. Kaito n’était pas plus heureux que ça que de rejoindre le camp d’Orochimaru, bien au contraire, il détestait ce personnage. Selon lui, le serpent aurait très bien pu sauver son frère aussi, mais qu’il ne l’a pas voulu pour des raisons quelconques. Et donc, pour cela il déteste cet homme. Pour son frère, son allure, ses expériences, son hypocrisie, mais il lui devait quelque chose et c’était fait, comme s’y attendait le gros lézard blanc, notre héros avait rejoint les ninjas du village du son.

- Dix ans passèrent et pendant ses dix ans, Kaito vit beaucoup de choses se passer dans son nouveau village. Pensant que sa dette n'est pas encore accomplie, il reste encore en présence de son chef. Combattant aux côtés de Kabuto, du quartet d'Oto et d'autres. En dix ans de service à Oto, le rouquin aura accompli 3 missions de rang D, 16 missions de C, 42 de rang B, 23 de rang A et 8 de rang S.

- Bref, à l'heure qu'il est, le Heiwajima continue de combattre sous les ordres du vil serpent et ce, même s'il le déteste. Les intentions de ce dernier sont inconnues à l'égards de notre héros. Il sait juste que le dernier arrivant l'intéresse beaucoup, Sasuke Uchiha. Arrivé il y a trois ans. Depuis, Orochimaru ne le quitte plus des yeux. Recherche de pouvoir ? Sûrement. Kaito reste dans son coin et observe. Le village du son dominera un jour ou l'autre.

Description psychologique du personnage

Description détaillée

Les gens en général, aiment souvent dire qu'aucun être humain n'est pareil. Tant mieux, n'est-ce pas ? Il est vrai que si on avait tous la même couleur d'yeux, la même teinture de cheveux, que tout le monde ferait un mètre quatre-vingts et que tous devaient prendre la même dose de nicotine par jour, on ne serait pas aller loin. Remarque que d'un certain point de vue, ça pourrait être utile, parce que dans un sens, cela ne veut pas-t-il dire que l'évolution humaine serait déjà arrivée à son apogée ? Si on était tous pareil, toutes ces questions du pourquoi on est là, quel est mon but, comment ça s'est passé et bien d'autres idioties du même genre que les philosophes s'amusent à analyser durant leur court passage sur terre. N'existeraient pas, ou plus. Si ce n'est pas ringard ça. Passer sa vie, pourtant imprévisible, à se poser un amas de questions qui au final nous mènerons à rien, ou si ! Mais à pas grand-chose en tout cas.

Notre protagoniste préféré est l'exemple idéal qui argumentera cette thèse, l'un des hommes des plus marginaux qu'il existe, le seul moyen pour qu'il soit de bonne humeur, se résume à la quantité de nicotine qu'il a dans le sang, sans quoi il devient l'un des êtres les plus cruels existant. Enlevez-lui son paquet de cigarettes et observez sa journée. Dans son cerveau, seul l'image du papier fin enroulant le tabac haché apparaîtrait. Il deviendra très vite arrogant, mais d'une grande violence, c'est déjà dans ses gênes que de provoquer les gens, mais quand il n'a pas eu sa clope, c'est sans hésiter qu'il dira ce qu'il aura à dire. Cruel, sans coeur, arrogant, fourbe, cherche merde ; Les principaux traits de son caractère qui ressortiront quand vous le verrez en manque de sa drogue, si précieuse. Dans ce cas-là, on pourra relever la colère, une profonde envie de meurtre l'envahira facilement, sans pitié, il vous arracherait les tripes volontiers, il fera preuve d'extrême violence, que même ses plus grands proches pourraient y passer... même lui. C'est-à-dire ? Tout simplement, que sa dépendance à cette drogue est si intense, que ce ne serait pas étonnant de le retrouver mort un jour dans sa chambre, après avoir passé plusieurs jours sans fumer. M’enfin n’ayez pas peur, au fond, ce bonhomme est très gentil et même s’il approuve la justice de ce monde, ce n’est pas se battre qu’il cherchera à tout prix.

Ce serait l'idéal si le seul problème qu'avait Kaito, était son manque facile de nicotine. La vie serait belle et bien trop simple, n'est-ce pas ? Malheureusement, l'homme adore la gente féminine et c'est avec une facilité déconcertante qu'il arrive à aborder la femme, en général. En fait, c'est un homme qui est très souvent à la recherche de plaisir sexuel. C'est plus fort que lui, il suffit qu'une jolie femme aux courbes bien dessinées, fasse son apparition et ses hormones chauffent tel un volcan rentrant en ébullition et d'un moment à un autre, quand on s'y attend le moins... BOUM ! Il explose. En totale éruption, il ira chercher, trouver et gagner sa proie. Ce n'est pas si dérangeant que ça, loin de là, cela prouve la grande confiance qu'il a en lui. Essentiel pour survivre dans ce monde de brute. Ajoutez à cette grande assurance ; un taux plutôt énorme d'alcool dans le sang, que ce soit en mission ou pas. Oui, parce que notre héros est un très gros buveur et une fois saoul, il n'aura peur de plus rien, que ce soit un minable petit rat ou un grand méchant loup, sous alcool, le mot « peur » n'existera plus. Mais nous connaissons tous les effets secondaires de l'alcool. Et là, je ne vous parle pas du moment où vous avez tout l'univers autour de vous qui tourne d'une manière irrégulière et que vous finissez par vomir à l'endroit que vous avez considéré comme « le plus approprié ». Non, je vous parle de cet effet où, à chaque battement de cils, les paupières deviennent de plus en plus lourdes. Axé sur la paresse, Kaito est du genre à faire une pause toutes les heures pour se reposer. C'est plus fort que lui, il en a vite marre de ses actions et facilement tout lui casse les couilles. Pardon du terme, mais c’est ce qui était le mieux approprié. Va falloir savoir être patient en sa compagnie, sur un long chemin qui mène à un long périple, Dieu seul sait le nombre de pause clopes qu’il fera. Quitte à faire la suite de la route tout seul s’il a besoin de sa clope, il la fumera. Certes, il peut fumer en marchant, mais ça casse le mythe, donc, il le fait rarement.

Ne le craignez pas non plus, notre rouquin aux cheveux longs n'est pas méchant. Certes, il peut être arrogant et perfide, cruel ou malin, Heiwajima Kaito reste quelqu'un de très amical et facétieux. Il est dur de trouver une amitié avec ce héros, une amitié si forte que les deux amis pourraient rire toute la journée. C'est possible, mais compliqué à obtenir. Tout simplement parce que c'est quelqu'un de très distant malgré ses apparences. Très mystérieux, généralement les conneries qu'il fera, il sera seul à les faire. Non pas parce qu'il a peur d'aller vers les gens, mais tout simplement parce que la solitude est un synonyme de sérénité. C'est quand il se retrouve seul face à un paysage merveilleux qu'il arrive à avoir une pensée sur ce monde, certes c'est une façon de faire que beaucoup peuvent trouver étrange et donc, ne pas vouloir lier d'amitié avec lui vu la distance que le ninja au cache-oeil impose. Cependant, le mot « amitié » signifie pour lui : un des sentiments les plus forts que l'homme a en sa possession. Étrange, n'est-ce pas ? Mais vrai. Sous ses airs de badboy, de ninja cachant ses ambitions et ses projets, Kaito ne le montre pas, mais ces amis sont un point culminant dans sa vie et même s'ils ne sont pas nombreux, le jour où un être aura le culot de toucher à un de ces proches, bien, je ne sais pas ce qu'il fera, mais il ne sera pas gentil avec l'humain qui aura blessé son pote.

En d'autres termes, notre protagoniste préféré semble être un personnage très marginal, ne vivant pas comme la société en général. En effet, Kaito est bien loin du stéréotype du ninja responsable et droit qu'il devrait être, passant son temps à fuir ses responsabilités qu'à les remplir. Vous avez plus de chance de le croiser avec une clope à la bouche et tenant une bouteille de saké à la main, que derrière un bureau, remplissant la paperasse. C'est le genre de ninja qui attend qu'on l'appelle pour aller en mission, et non lui qui aura l'autonomie d'aller demander du travail à son supérieur. Je n'appellerai pas ça de l'irresponsabilité, mais tout simplement, de la flemmardise. Comme dit plus haut, un de ces péchés est la paresse et il le confirme par ses actes. Un autre point qu'il ne faut pas oublier de préciser est que ce ninja est très imprudent, je n'irai pas jusqu'à dire qu'il fonce tête baissée contre un adversaire, loin de là, mais Kaito est très imprudent. Il ne l'aime pas forcement, mais ça lui donne de l'adrénaline, donc ça lui plaît, ce foutre dans la merde tout seul et en ressortir. Si un jour vous le croisez, ne soyez pas étonnés de le voir dans le pétrin, parce que oui, malgré ses vingt-huit ans déjà passés, il reste quelqu'un de très puéril, de bonne humeur, dans sa tête c'est : blague - blague - blague - blague - blague. Ça ne fait pas rire tout le monde, loin de là, rare sont les personnes qui ont le même humour que lui, mais que voulez-vous, il est con et il l'assume.

Dernier point que j'aimerais aborder est son côté très flamboyant et relax. C'est contradictoire à ce que j'ai dit par rapport à sa relation humaine. Je vous l'accorde, mais ce que je veux dénoncer, c'est que même si c'est quelqu'un qui ne se lie pas très vite d'amitié avec les gens en général, Kaito reste un humain sociable, riche en énergie et qu'on remarque toujours dans un groupe de personnes. Sûrement grâce à cette ouverture d'esprit. Il est l'une de ces rares personnes qui malgré leur distance, arrive à se faire aimer par les gens. En fait, c'est simple, le rouquin soit on l'aime, soit on le déteste, il n'y a pas d'importance. Et souvent, on l'aime, même si généralement il manque de respect à son interlocuteur, on finit par l'aimer. Oui il manque de respect, ne soyez pas étonné de le voir employer « Vieillard » quand il parlera à un humanoïde qu'il connaît et qui a déjà pris de l'âge. D'un point de vue philosophique et culturelle, c'est un acte qui est contre les règles de cette civilisation, mais le guerrier d'Oto les emmerdes et il est du genre à faire ce qu'il veut. Bref, Kaito est un curieux individu dont on en a encore beaucoup à apprendre, même moi je n'ai pas encore réussit à cerner ce personnage.

Test rp

Test rp

Jeudi douze septembre, l'astre rayonnant était à son zénith, laissant traverser ses rayons lumineux à travers le léger tissu qui me servait de tente. Mon visage illuminé par la luminosité du soleil m'aida à me sortir de ce sac de couchage dégueulassé par la boue. Petit à petit mes yeux retrouvaient la lumière du jour et s'y habituaient, ça faisait plusieurs jours que la pluie de n'arrêtait pas de tomber, les conditions de vie étaient affreuses et je n'avais aucune idée si j'allais survivre, mais c'est fini, profitons de ce moment ensoleillé. Vingt jours maintenant que je suis partit de mon village sans rien dire, seule une carte explicative de mon départ fut déposée à l'entrée pour mes parents. Le nez coule et mes vêtements sont trempés, sans plus attendre je les étendais sur une branche d'un arbre non loin, bien exposé au soleil. J'arrive à la fin de mes paquets de clopes, il ne m'en reste plus que trois et je suis loin d'avoir fini mon voyage. Comment vais-je faire pour continuer ? J'ai l'impression d'être au bout de mes forces, ça fera bientôt 48 heures que je ne mange que des fruits et autres plantes non dangereuses qui traînent par là. Aucun gibier à l'horizon, seul les quelques vers et autres insectes qui ressortent du sol encore mouillé par la pluie. Peut-être qu'aujourd'hui j'aurai plus de chance, je ne sais pas.

La faim me prenait et il fallait que je prenne des forces pour me remettre en marche. Je sortis de mon sac, quelques kakis séchés que je n'ai pas encore mangés, un délice certes, mais bouffer ça pendant bientôt trois semaines, cela en devient écoeurant. La veille, j'avais établi un petit campement au bord d'une source d'eau, élément essentiel à la survie. Je m'approchai du ruisseau et plongea ma tête dans l'eau, histoire de se rafraîchir et se réveiller un bon coup. Manque de chance, aucun poisson à l'horizon. J'allais devoir continuer mon chemin avec le ventre presque vide. Très vite je remballai mes affaires, me revêtit avec les vêtements que j'avais fait sécher, sortit une cigarette avant que je ne m'aperçoive qu'il ne m'en reste maintenant plus que deux, je l'allumai et pris une direction quelconque, selon mon instinct. Ce pays est affreux, il peut pleuvoir pendant plusieurs jours et nuit, pour qu'ensuite, le lendemain il fasse un temps magnifique. Mes vêtements me collent à la peau, je transpire comme une cascade d'eau, il fait lourd, l'air était humide. Il y avait cette odeur de vieux sperme qu'on ne sent que dans ces moments-là. Heureusement que j'avais ma belle, quoi que, plus autant jolie qu'avant, mais toujours utile. Je parle de mon paquet à tabac qui avait clairement pris de l'eau, je ne sais pas quelle miracle, ce qui est à l'intérieur est encore fumable, un peu mouillé certes, mais tant que je peux l'allumer et la déguster, tout va bien. Finit, je la jetai.

Plus je marche et plus la lourdeur du temps pèse sur mes épaules. Je sens les gouttes de transpirations circuler un peu partout dans mon corps, que ce soit de la nuque jusqu’au bas du dos, de mon front à ma joue droite, de mes dessous de bras à l’estomac, partout, c’est horrible. J’ai beau me dire que mieux vaut avoir cette chaleur de plomb, qu’une violente tempête de pluie, ma situation actuelle restait la même. Mes jambes sont lourdes, je transpire des couilles, je ne sans plus mon sang circuler, ma tête tourne, j’ai le les poils du cul trempés, qu’est-ce cette étrange impression ? C’est comme si mon âme se faisait aspirer et que petit à petit, je me laissai aller je ne sais où. La seule solution à ce problème, c’est de m’injecter de la nicotine. Sans plus attendre, je sortis de mon sac mon avant-dernière clope et un briquet. Je plaçai ma cigarette dans la bouche, quand soudain je sentis quelque chose me glisser des mains,  « plouf ». Et c’est là que je me rendis compte que ce qui était tombé, c’était mon seul et unique briquet. Ce n’est pas un souci ça, le problème c’est qu’il succomba dans la seule flaque d’eau qu’on pouvait trouver dans les horizons. Accompagné d’un chant d’oiseau pour encore plus me les briser, ma journée était écrite : Tu vas souffrir aujourd’hui Kaito ! Je restai figé pendant plusieurs minutes, sans rien dire, sans bouger d’un doigt, sans écarquiller le moindre sourcil.

« Nooooooooooooooooooooooooooooooon…. » je criai de toutes mes forces, cris de désespoir. Quand tout à coup. « Oh la ferme ! Tu vas déranger la forêt ! » Un petit vieux sortit de nulle part fumant la pipe apparu. Je tournis la tête en sa direction et ne dit rien, le petit vieillard m’alluma la clope sans que je ne lui demande «  Ah les jeunes de nos jours, il faut toujours les remettre en place. Dit-moi petit, tu m’as l’air crevé, tu fais quoi ici ? » Recrachant la fumée que j'avais prise quand le vieillard m'alluma la cigarette et me redressa. « Merci monsieur, mais je n'ai pas le temps de rester blablater. Sur ce, bonne journée » Je repris mon chemin sans retourner la tête. « Tu n'es pas le premier à passer par là, ni le dernier. C'est à tes risques et périls, mais fait comme bon te semble. Vieux fou ! » enchaîna le vieux. Étant de dos, je levai mon bras droit et lui fit un signe de la main, pour lui dire au revoir. Mais de quoi parlait-il ?

Au fil du temps que j'avance dans cette forêt, le ciel disparaissait de plus en plus. Non pas parce qu'un nuage vint cacher le soleil, non plus parce qu'il se fait nuit, mais tout simplement parce que plus  j'avance et plus la forêt est dense en végétation, tellement abondant que ça plonge cette grande étendue d'arbres dans les ténèbres. Les nombreux animaux qui y habitent ne sont pas très difficile à trouver, sur ma route je croisai un peu de tout, des bêtes plus dangereuses que d'autres. Serpents géants, araignées dévastatrices, aigles veillant ou encore de sage crapauds. Heureusement pour moi, les seuls monstres qui me virent, sont généralement d'humeur paisible et ne feront rien, sauf en cas de défense. Toujours gardant un œil sur les environs, c'est sans me rendre compte que je me trouvais vite devant le repère de celui que je cherche depuis bientôt trois semaines, enfin ! Je pu apercevoir deux gardes à l'entrée et c'était tout, pas très prudent l'Orochimaru. Je jetai ma clope si gentiment allumée par un vieillard et c'était parti. Kunai munit d'une note explosive à la main que je lançai sans plus attendre sur les gardes. Échec, ils virent le projectile arrivé et réussirent à l'esquivé de justesse. Cependant, voyant le premier raté que je fis, j'en profitai pour en tirer quelque chose de bien et sans plus attendre, je me lançai sur l'un des gardes encore distrait. Il se prit un violent coup de pied dans la tête, un enchaînement qu'on appelle chez nous « Dainamikku Entorī ». Pas très puissant, mais mon but n'était pas de le tuer, juste de lui faire des dégâts. Suite à cela, alors que la victime essayait encore de se relever après le choc qu'il se prit, son collège m'attrapa et me mit la lame au cou. Basique, je gonflai mes poumons d'air donnant l'impression d'être plus gros et relâcha tout d'un coup. Étonné par le fait que je « maigrisse » d'un coup, mon ennemie ne réussit pas à me tenir et je lui mis plusieurs coups à différents endroits du corps, histoire de bien lui briser les os. Mais prit dans mon élan, je ne vis pas l'autre qui avait réussi à se relever et appeler du renfort. Me retrouvant à sept contre un je fus vite pris, malgré mes plusieurs tentatives de débattement, sans succès.

Sans plus attendre ils m’emmenèrent à l’intérieur, toujours en train d’essayer de me retirer de leur emprise en donnant des coups dans le vent, j’avançai dans un long couloir interminable aux couleurs sombres. C’est que ces enfoirés ils me tenaient bien ! Putain, ces lâches de merde qui sont obligés de venir à plusieurs pour combattre, venez tous un par un aller venez, bande de tapette « Enfoirés ! Lâchez-moi les tarlouzes !... Lâchez-moi j’ai dit ! ». Je n’avais aucune idée où est-ce qu’ils m’emmenaient, je savais juste que je n’étais pas loin du serpent que je cherche depuis longtemps vu les habits dégueulasses que portent ces ninjas, exactement les mêmes que les ninjas d’Orochimaru. M’emmenaient-ils vers lui ces enflures ? Mais bordel, ça pu la mort ici, j’ai l’impression de ne plus réussir à respirer. Je sens juste la douleur des muscles en travail, ma force s’en va petit à petit, ma tête tourne, plus j’avance et plus je vois flou, mes paupières sont lourdes, elles se ferment petit à petit, j’en avais peut-être un peu trop frais

« Tu as enfin décidé de nous rejoindre ahahah. Tu as fait le bon choix. »

C'était Orochimaru, j'avais réussi à rouvrir légèrement les yeux et quand je le fis, je me suis rendu compte que j'étais là, couché comme une merde sans force, devant tout le monde. Je ne percevais que la froideur de la peau blanche à serpentar et je pouvais sentir son aura maléfique, à en foutre des frissons. Après l'avoir écouté, ma vision redevint de nouveau obscure, j'étais à bout, à bout de ce voyage, du dernier combat, de tout, il me fallait absolument une clope, mais j'en avais pas la force pour. Deux jours plus tard, je me réveillai finalement entièrement sur un lit d'une chambre plutôt glauque, mais c'était le style au célèbre sannin légendaire et fallait s'y faire !

Haute maîtrise du Taijutsu - Gōken | Arcanes de l'école ( portes célestes )  
Hijutsu - Manière propre aux Heiwajima que de combiner le Fuuton et le Göken

En dehors du forum

QUI SE CACHE DERRIÈRE L'ÉCRAN ?

Pseudo : Renato
Comment avez vous découvert le forum ? Ancien membre de Naruto-Sensou, Natsu m'a " convaincu " de revenir essayer l'aventure ici.
Vos projets sur le forum : Aller le plus loin possible avec le même personnage.
Votre avis sur le forum ? Il y a encore quelques éléments manquant, mais dans l'ensemble c'est du bon travail !
Votre présence sur le forum ? Je ne peux pas vous dire, encore moins en ce moment vu la période d'été. J'essaie de passer un peu tous les jours.
Avez-vous lu tous les règlements ? J'ai signé la carte 'taleur. Donc ouais je l'ai lu.

Heyo !
Je double-post pour vous prévenir que ma présentation est finie. J'ai eu un peu de mal avec le système des anecdotes, mais j'ai essayé de me débrouiller comme je le pensais. En espérant correspondre aux critères pour le grade que je vise, je vous souhaite une...

Bonne lecture,
cordialement !

Hello,

Cette fiche présentation est plutôt longue. Ça m'a pris un certain temps à tout lire et assimiler xD J'aurai préféré que tu sois un peu plus bref dans tes détails, car parfois la lecture devient lassante.

À part ces détails, ta présentation est globalement réussite. Je pense que tu devrais avoir le niveau pour le rang S. En effet, ton personnage possède un vécu notable. Tu sembles bien avoir compris le système des anecdotes. Du coup, je n'ai pas beaucoup de choses à te dire. J'ai beau chercher, mais je ne trouve toujours pas de bête noire.  

La longueur fait que tes textes sont parfois lourds et répétitifs. Il y a également plusieurs petites fautes de camouflées entre tes lignes. Dans ton test rp, par exemple, tu confonds à quelques reprises la première personne avec la troisième (je... plongea). C'est donc à faire attention.

Attends un second avis. Je suis favorable au rang S, à voir pour le niveau.

Bonjour !
Bien, je prends en note les défauts de ma fiche pour pouvoir m'améliorer à l'avenir. Merci, c'est toujours bon à prendre . Je faisais généralement mes RPs à la 3è personne à l'époque, mais j'avoue avoir aimé joué à la première personne, c'est donc un changement de style que je fais et ça a peut-être pu causé ce problème de conjugaison, mais bon, c'est pas une excuse, j'avais qu'à me relire !

Bienvenue sur Shinobi no kokoro,

Contrairement à Nëssa, je ne pense pas que tu puisses toucher au rang S dans l'état actuel de ta fiche.

On ne va pas se leurrer, ta plume est relativement simpliste et tu n'as pas vraiment cherché à l'améliorer au fil du récit. De plus, quelques fautes sont notables et parfois tu passes du présent à l'imparfait dans la même phrase, ce qui est assez gênant pour le lecteur.

Alors certes, ta présentation contient une certaine quantité – peut-être même de trop malheureusement – mais ce n'est pas suffisant, tout du moins il aurait fallu que tu te penches plus sur ton style narratif que sur cette même quantité.

Du coup, je suis plutôt d'avis à te valider rang A de level 40. Tu peux désormais te diriger vers la fiche technique, bon RP.